01 : District de Viana do Castelo - Braga et Vila Real. De Soajo à Amarante.

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District de Viana do Castelo
- Braga - Vila Real.

LA VISITE DETAILLEE DU PORTUGAL EN PHOTOS :
- DISTRICT PAR DISTRICT.
- DU NORD AU SUD DU PORTUGAL.
- COTE OUEST ET COTE EST.

La région Nord ou région du Nord est une région portugaise qui comprend la totalité des districts de Viana do Castelo, de Braga, de Porto, de Vila Real et de Bragance ainsi qu'une fraction des districts d'Aveiro, de Viseu et de Guarda, comptabilisant un nombre de 86 municipalités.

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QUELQUES PAYSAGES DANS LE NORD EST DU PORTUGAL











SOAJO
À l’extrême nord du Portugal, proche de la frontière espagnole

SOAJO - LES GRENIERS A MAÏS

SOAJO - LES GRENIERS A MAÏS

SOAJO - LES GRENIERS A MAÏS

SOAJO - LES GRENIERS A MAÏS

SOAJO - LES GRENIERS A MAÏS

SOAJO - LES GRENIERS A MAÏS

SOAJO - LES GRENIERS A MAÏS

SOAJO - LES GRENIERS A MAÏS

SOAJO - LES GRENIERS A MAÏS

Soajo est un village isolé dans le parc national de Peneda-Gerês, donnant sur la partie supérieure de la rivière Lima. L'attraction principale est les greniers en pierre qui servaient à stocker du maïs. 986 habitants en 2011 ! - 58 kms de Braga – 111 de Porto.

VUE SUR LA VALLEE DE SOAJO
Nous pouvons disposer d’une vue splendide sur la campagne environnante et la marche est une bonne occasion de découvrir la beauté de cette zone protégée.

De petites maisons dressées en blocs de granit bordent les rues en pierre, conduisant le visiteur vers la place où se dresse le singulier pilori, monument national depuis 1910. Un sympathique visage anthropomorphique inscrit, couronné d'un triangle au top, rappelant un chapeau à trois pointes, vous souhaite la bienvenue à ce village, où le visiteur découvrira une atmosphère décontractée et très accueillante.

Dans la périphérie de l’aire urbaine, sur un point haut dominé par un grand affleurement granitique, visitez l’aire commune, un imposant ensemble de 24 "espigueiros" (celliers) construits en pierre de granit, avec des éléments architectoniques datant des XVIIIe et XIXe siècles, où la communauté gardait les céréales, surtout le maïs, abondant dans la région. Les croix au sommet représentent la protection divine de ses contenus, moyen de survie de la communauté, “notre pain de tous les jours”. À Soajo, (situé sur Estrada dos Espigueiros, la M 530) abrite ces constructions en pierre de granit, les plus anciennes datant de 1782, les autres réalisées aux XVIIIe et XIXe siècles. Les « roues » à la base servaient à empêcher les rongeurs de gâcher les moyens de subsistance des familles, pour beaucoup d'entre elles le seul moyen de survie.

CHIEN DE CASTRO LABOREIRO
 
SOAJO - LE CASTRO
LABOREIRO
Originaire du village portugais dont il porte le nom (Cão de Castro de Laboreiro), le Bouvier Portugais est issu du croisement de bergers locaux et de molosses ibériques. Il est cependant difficile d'établir son origine de façon absolue, car il est connu depuis des époques très lointaines.
 
À l'instar du Chien de Montagne Portugais, il doit appartenir à l'une des plus anciennes races de la péninsule Ibérique. Sa distribution est limitée par les montagnes de Peneda et de Soajo, et par les fleuves Minho et Lima. On le rencontre à des altitudes variables jusqu'à près de 1400 mètres. On trouve aussi quelques spécimens de cette race en d'autres endroits au bord du Minho et dans la province de Douro. Il se propage peu dans le centre et le sud du Portugal, où il passe inaperçu.
 
Depuis quelques centaines d'années, le Bouvier Portugais est utilisé pour la garde des troupeaux et des fermes contre les loups.
 
 

EGLISE MATRIX SOAJO

EGLISE MATRIX - SOAJO

L'ESCALIER DE L'EGLISE QUI MENE A LA CLOCHE - SOAJO

À Voir :
- Église mère de São Martinho de Soajo – Petite église du village, le Saint Patron en est Sao Martinho, qui est fêté le 11 novembre.
- Le Pilori,
- Les Grenier en Granit,

On trouve ces mêmes greniers à Maïs à Lindoso, environ 15 kms, une soixantaine de Grenier, la plus importante concentration de Grenier, juste à côté des ruines du Château, mais la rivière LIMA n’a pas de pont dans le secteur ce qui oblige à un grand détour

LE PILORI - SOAJO

LE PILORI DE SOAJO

DANS UNE RUE MOYENNAGEUSE A SOAJO

SOAJO - DANS LES RUES ANCIENNES AUX MAISONS DE GRANIT

VUE SUR LA VALLEE - SOAJO


UN GRENIER DANS UNE PROPRIETE

PONTE DA BARCA - Portugal
Ponte da Barca, une ravissante petite ville du nord du Portugal

PONTE DE BARCA - LE VIEUX PONT

Ponte da Barca, fait partie des lieux qui mérite une visite attentive pour découvrir sa culture et son histoire.

Cette bourgade fort sympathique, qui appartient au Terroir des Vinho Verdes se présente comme la version miniature de Ponte de Lima. Bien plus modeste toutefois. Mais on est presque surpris de découvrir, lorsqu’on la quitte, qu’elle ne se résume pas uniquement au cadre ravissant de son pont médiéval et environs. 

PONTE DE BARCA - LA RIVIERE LIMA

Située dans une région verdoyante au bord du Fleuve Lima, près de la moitié du district fait partie du territoire du Parc National de Peneda-Gerês, ce qui offre sous la forme de sentiers pédestres ou le VTT, d’excellentes conditions pour les activités sportives et les loisirs. Dès les premiers beaux jours, les abords du pont sont envahis par une foule de promeneurs venus se baigner dans le rio Lima et pique-niquer sur ses rives. On pourra se promener sur le bord du fleuve en direction de la plage fluviale, ou passer un bon moment dans la vaste piscine proche du fleuve.

PONTE DE BARCA - SUR LE VIEUX PONT

L’histoire de cette ville est évidement liée à la traversée de la rivière Lima. il semblerait qu’elle ait été nommée d’abord Barca car la traversée se faisait à l’époque uniquement en barque (barca), puis passa à Ponte da Barca, lors de la construction du premier pont, probablement à la moitié du 15ème siècle. À Ponte da Barca, le pont occupe une place d’honneur, il constitue un des plus importants témoignages de l’architecture médiévale de la région. Avec la construction de ce pont, la localité accroît son importance dans le domaine commercial, constituant un fort point de passage, devenant centre et axe régional en direction du littoral tout en améliorent le cadre de vie et le tissu social des communes environnantes. La place ombragée, située à proximité du pont dispose de places de parking gratuites.

PONTE DE BARCA

Le territoire possède également de nombreux éléments de patrimoine, riches et diversifiés Entre autres, situé dans cette région connue pour ses vins de qualité et très particuliers, les excellents Vinhos Verdes.

À voir - Le centre historique (À la sortie du pont médiéval, N203)
Le centre historique de la ville avec ses maisons seigneuriales (certaines ayant été adaptées au tourisme d’habitation) et de beaux monuments du XVIè et du XVIIIè siècles méritent une visite attentive. Vous ne manquerez pas de visiter :

PONTE DE BARCA EGLISE MATRIX

PONTE DE BARCA - EGLISE MATRIX

Vous ne manquerez pas de visiter :
Igreja de São João Baptista - Igreja Matriz de Ponte da Barca. Construite entre 1717 et 1738, ce bâtiment a une façade qui combine les styles baroque et maniériste. La façade est complétée par un relief représentant le baptême du Christ, œuvre du XVIIe siècle. À l’intérieur, il y a plusieurs chapelles latérales.


PONTE DE BARCA - DETAIL DE L'EGLISE MATRIX

PHOTO: PONTE DE BARCA - LE PILORI

A VOIR EGALEMENT:
Pelourinho - Classé monument national, il daterait de la fin du 16ème siècle.

Igreja da Misericórdia. - C’est l’une des plus anciennes églises du Portugal, fondée en 1534. Entre 1822 et 1844 elle a subi d’importants travaux de reconstruction. Elle dispose d’une façade style rococo de la seconde moitié du 18ème siècle et d’un balcon néoclassique.

Mercado Pombalino - Le marché Pombalino, a été construit en 1752 dans le but d’héberger des commerçants et des bateliers ainsi que leurs biens.

PONTE DE BARCA - PELOURINHO ET MERCADO ANTIQUE

- Place de la république - La ville de Ponte da Barca compte de nombreux festivals et événements tout au cours de l’année, qui permettent aux habitants et aux visiteurs d’assister à des spectacles de musique de toute sorte, des foires artisanales…Ces manifestations ont généralement lieu sur cette place.

PONTE DE BARCA LA VILLE ET A
GAUCHE LE MARCHE ANTIQUE

VUE SUR LE MERCADO ANTIQUE - LE PELOURINHO
ET AU LOIN L'EGLISE MATRIX

SUR LES BORD DU FLEUVE LIMA, VUE SUR LA VILLE - PONTE DE BARCA

UN CENTRE VILLE MOYENAGEUX - PONTE DE BARC

PONTE DE BARCA - UN VIEL IMMEUBLE

PONTE DE BARCA - IGREJA DA MISERICORDIA

DANS LES JARDIN - PONTE DE BARCA

PONTE DE BARCA - DANS LES JARDIN AU BORD DU LIMA ET VUE SUR LE VIEUX PONT
PONTE DE BARCA - Capela de Nossa Senhora da Lapa

PONTE DE BARCA - UNE DECORATION SURPRISE!

PONTE DE BARCA

PONTE DE BARCA - LE PELOURINHO

PONTE DE LIMA
Vielle ville moyenâgeus

PONTE DE LIMA - LE PONT MEDIEVAL

Au cœur de la vallée de Lima, le chandelier et la beauté particulière du plus vieux village du Portugal cachent des racines profondes et des légendes anciennes. Ce fut la comtesse D. Teresa de León qui, à la date du 4 mars 1125, accorda à la ville une lettre de charte, la désignant sous le nom de Ponte Terra. Des années plus tard, déjà au XIVe siècle, D. Pedro I, étant donné la position géostratégique de Ponte de Lima, le fit murer. Le résultat final fut donc celui d’une ville médiévale entourée de murailles et de neuf tours, dont Il en reste encore deux, plusieurs traces du reste et toute la structure défensive de l'époque, donnant accès au village par six portes.

PONTE DE LIMA - VUE SUR LES QUI DU FLEUVE LIMA

PONTE DE LIMA - VUE SUR LES QUI DU FLEUVE LIMA

PONTE DE LIMA - VUE SUR LES QUI DU FLEUVE LIMA

PONTE DE LIMA - VUE SUR LES QUI DU FLEUVE LIMA

Le pont, qui a donné son nom à cette noble terre, a toujours acquis une grande importance dans tout le Haut-Minho, car il constitue le seul passage sûr de la rivière Lima, sur toute sa longueur, jusqu'à la fin du Moyen Âge. Le primitif a été construit par les Romains, dont la rive droite de Lima est encore très étendue. Le Moyen-Âge est un monument remarquable de l'architecture, avec très peu d'exemples comparables à l'altitude, à la beauté et à l'équilibre de l'ensemble. Référence obligatoire dans les itinéraires, les guides et les cartes, pour la plupart anciennes, décrivant le passage de milliers de pèlerins qui ont exigé Saint-Jacques de Compostelle et qui le transposent encore aujourd'hui dans le même but.

PONTE DE LIMA - LE VIEUX PONT

PONTE DE DE LIMA - LE PILORI

PONTE DE LIMA - LE PILORI





















PONTE DE LIMA - MURAILLE OU CE QU'IL EN RESTE

PONTE DE LIMA - STATUE "SCENE DE LA CAMPAGNE"

PONTE DE LIMA - STATUE "SCENE DE LA CAMPAGNE"

















PONTE DE LIMA - STATUE "SCENE DE LA CAMPAGNE"

À partir du XVIIIe siècle, l’étalement urbain se développe et marque le début de la destruction du mur qui entourait le village. L'opulence des manoirs que la noblesse de l'époque s'était engagée à diffuser commença à prospérer dans toute la municipalité de Ponte de Lima. Au fil des ans, Ponte de Lima a ainsi ajouté à sa beauté naturelle de magnifiques façades gothiques, maniéristes, baroques, néoclassiques et du XIXe siècle, augmentant de manière significative la valeur historique, culturelle et architecturale de ce coin unique du Portugal.

PONTE DE LIMA - Old Prison Tower

PONTE DE LIMA - Capela da Senhora da Penha de França

PONTE DE LIMA - Torre da Cadeia Velha OU OLD PRISON TOWER

PONTE DE LIMA - PORTE ENTRE DE LA TOUR DA CADEIA VELHA

PONTE DE LIMA - UNE ANCIENNE PORTE DE LA VILLE

PONTE DE LIMA - Capela da Senhora da Penha de França

PONTE DE LIMA - MERCADO MUNICIPAL

A voir :
- Le Pont Romain et Moyenâgeux ; Interdit aux voitures. À côté de Igreja Santo Antonio de Torre Velha (rive droite en allant vers la mer)

- À Voir au fil des rues. Centre historique centenaire, (rive gauche et allant vers la mer, autre rive du pont médiéval) la ville s'enorgueillit de ses 50 monuments classés. Sur ce total, 3 Monuments Nationaux, 4 Monuments d'Intérêt Public, 38 Bâtiments d'Intérêt Public et 5 d'Intérêt Municipal, reflètent la richesse du patrimoine archéologique et architectural, symboles de la magnifique histoire de cette ville du Minho.

PONTE DE LIMA - Igreja de Santo António da Torre Velha

PONTE DE LIMA - Igreja de Santo António da Torre Velha

PONTE DE LIMA - PETITE CHAPELLE PROCHE DE SANTO ANTONIO DA TORRE VELHA

PONTE DE LIMA - Igreja de Santo António da Torre Velha

PONTE DE LIMA - Igreja de Santo António da Torre Velha

PONTE DE LIMA - Igreja de Santo António da Torre Velha

PONTE DE LIMA - Igreja de Santo António da Torre Velha

PONTE DE LIMA - Igreja de Santo António da Torre Velha

PONTE DE LIMA - LE FLEUVE LIMA

PONTE DE LIMA - LE FLEUVE LIMA

PONTE DE LIMA - LE FLEUVE LIMA

PONTE DE LIMA - La chapelle de Pereiras, à l'origine chapelle de Santa Rita de Cássia

PONTE DE LIMA - La chapelle de Pereiras, à l'origine chapelle
de Santa Rita de Cássia

PONTE DE LIMA - la camara

PONTE DE LIMA

PONTE DE LIMA - Église Matrix de Ponte de Lima / Église de Santa Maria dos Anjos

PONTE DE LIMA - Église Matrix de Ponte de Lima / Église de Santa Maria dos Anjos

PONTE DE LIMA - Église Matrix de Ponte de Lima / Église de Santa Maria dos Anjos

Paço do Marquês de Ponte de Lima

Paço do Marquês de Ponte de Lima

PONTE DE LIMA - FORTIFICATION MOYEN AGE

PONTE DE LIMA - DOME

PONTE DE LIMA - VILLA BELMIRA

PONTE DE LIMA - VIELLE TOUR DE LA PRISON

PONTE DE LIMA - VUE SUR LES QUAIS

PONTE DE LIMA - VIGNES et la rivière Lima au premier plan;

PONTE DE LIMA - EMPLACEMENT DE LA FETE ET PARKING L'ETE

STATUE SUR LES QUAIS - PONTE DE LIMA

PONTE DE LIMA - FRESQUE MURALE


PONTE DE LIMA - Igreja de Santo António da Torre Velha

PARADES DE COURA - 
« COSSOURADO »
COSSOURADO - CITE DE LA PREHISTOIRE - V et II éme siècle avant JC - RECONSTITUTION DES HABITAS D'ORIGINE

Au nord de Pont de Lima – envi 15 kms) et au nord de Rubiaes, sur N 201)
“Povoado Fortificado De Cossourado”
Parades de Coura - Site ancien datant d'avant Jésus Christ.

Cossourado est une ancienne paroisse portugaise de la commune de Paredes de Coura, intégrée aujourd’hui à Parades de Coura, d'une superficie de 5,53 km² et 319 habitants (2011)

Le village de COSSOURADO - Cimetière ( au niveau du chemin menant à la cité)

Le village de COSSOURADO - l'église

Le village de COSSOURADO - l'église

Le village de COSSOURADO - l'église

Également connu sous le nom de Cividade de Coussorado, cet ancien Castro est situé dans la belle région de Paredes de Coura, au nord du pays, entre les fantastiques rivières Coura et Minho, dans une zone surélevée du pays, de défense stratégique.

Après être passé à Rubiaes, on localisera facilement COSSOURADO. Arrivé dans ce petit village, sur la route principale on trouve l'église. A Côté de l'église, avant le cimetière, il y a un chemin et un panneau en bois qui indique les " Fortificado de Cossourado". Vous suivez ce chemin sur un ou deux kms et vous arrivez au site préhistorique;

COSSOURADO - CITE DE LA PREHISTOIRE - V et II éme siècle avant JC -
Vue sur la vallée à partir du site

COSSOURADO - CITE DE LA PREHISTOIRE - V et II éme siècle avant JC

COSSOURADO - CITE DE LA PREHISTOIRE - V et II éme siècle avant JC

COSSOURADO - CITE DE LA PREHISTOIRE - V et II éme siècle avant JC

La colonie s'étend sur une superficie bâtie d'une dizaine d'hectares, ayant été habitée pendant une courte période, entre le Ve et le IIe siècle avant JC, et probablement abandonnée peu avant l'occupation romaine du territoire. Depuis 1993, plusieurs travaux archéologiques ont eu lieu, afin de mieux comprendre et préserver cet important espace historique, concluant que le castro serait entouré de deux lignes de murs, avec les habitations disposées autour d'une tourelle en pierre et en terre. Plusieurs caractéristiques ont été découvertes, notamment le logement, le stockage, le stockage des animaux et des produits, conduisant à la conviction qu'il s'agirait d'un établissement socialement stratifié, avec une économie basée essentiellement sur la collecte, l'agriculture et le pastoralisme.

COSSOURADO - CITE DE LA PREHISTOIRE - V et II éme siècle avant JC
RECONSTITUTION DE L'HABITAT
  
RECONSTITUTION DE L'HABITAT - INTERIEUR

COSSOURADO - CITE DE LA PREHISTOIRE - V et II éme siècle avant JC
RECONSTITUTION DE L'HABITAT

COSSOURADO - CITE DE LA PREHISTOIRE - V et II éme siècle avant JC
RECONSTITUTION DE L'HABITAT

COSSOURADO - CITE DE LA PREHISTOIRE - V et II éme siècle avant JC
RECONSTITUTION DE L'HABITAT

COSSOURADO - CITE DE LA PREHISTOIRE - V et II éme siècle avant JC
RECONSTITUTION DE L'HABITAT

COSSOURADO - CITE DE LA PREHISTOIRE - V et II éme siècle avant JC
RECONSTITUTION DE L'HABITAT
COSSOURADO - CITE DE LA PREHISTOIRE - V et II éme siècle avant JC
RECONSTITUTION DE L'HABITAT
COSSOURADO - CITE DE LA PREHISTOIRE - V et II éme siècle avant JC
RECONSTITUTION DE L'HABITAT

COSSOURADO - CITE DE LA PREHISTOIRE - V et II éme siècle avant JC
RECONSTITUTION DE L'HABITAT

Les plans d'étage des bâtiments sont circulaires, ovales ou rectangulaires avec des coins arrondis, plus grands que leurs villages contemporains.

Dans le souci de préserver un patrimoine d'une telle importance, dans une région de grande importance et de richesse historique, le village a été récemment transformé en espace muséal, reconstituant un noyau formé de deux bâtiments, recréant les maisons du passé.

COSSOURADO - CITE DE LA PREHISTOIRE - V et II éme siècle avant JC
VESTIGES DU VILLAGE
COSSOURADO - CITE DE LA PREHISTOIRE - V et II éme siècle avant JC
VESTIGES DU VILLAGE
COSSOURADO - CITE DE LA PREHISTOIRE - V et II éme siècle avant JC
VESTIGES DU VILLAGE
COSSOURADO - CITE DE LA PREHISTOIRE - V et II éme siècle avant JC
VESTIGES DU VILLAGE

COSSOURADO - CITE DE LA PREHISTOIRE - V et II éme siècle avant JC
VESTIGES DU VILLAGE

COSSOURADO - CITE DE LA PREHISTOIRE - V et II éme siècle avant JC
VESTIGES DU VILLAGE
COSSOURADO - CITE DE LA PREHISTOIRE - V et II éme siècle avant JC
VESTIGES DU VILLAGE

COSSOURADO - CITE DE LA PREHISTOIRE - V et II éme siècle avant JC
LA PANCARTE, BIEN ANCIENNE, QUI INDIQUE LA DIRECTION DE LA CITE

 
VIANA DO CASTELO

Jusqu'à son élévation à la ville le 20 Janvier de 1848 , Viana actuelle do Castelo a été appelé simplement « Viana » (aussi appelé « Viana da Foz do Lima » et « Viana do Minho », pour le différencier de Viana do Alentejo ) . En 1977, elle devient le siège d'un diocèse catholique.

Il appartient au réseau portugais des villes-santé.

LE PONT EIFFEL - VIANA DE CASTELO - EMBOUCHURE DU FLEUVE LIMA

L'occupation humaine de la région de Viana remonte au Mésolithique , comme en témoignent de nombreuses découvertes archéologiques (avant la citadelle préromaine) à Monte de Santa Luzia.

La ville de Viana a reçu Foral Charte de Afonso III du Portugal dans 18 Juillet de 1258 , passant à être appelé Viana da Foz do Lima . En raison de la prospérité qu'elle a acquise depuis, Viana est devenue un poste de traite important, et une tour défensive a été construite ( Torre da Roqueta ) dans le but de repousser les pirates de Galice et d'Afrique du Nord , qui cherchaient ce port.

Igreja de Nossa Senhora do Carmo - VIANA DE CASTELO

Viana do Castelo est une destination fascinante qui est très représentative des meilleurs attraits des régions de la Costa Verde et de Minho. On y trouve de superbes portions de littoral, des paysages naturels somptueux et une ville remplie d’histoire et de charme portugais. Viana do Castelo est principalement une ville industrielle qui sert de centre de fabrication de navires. Toutefois, c’est aussi une destination agréable et plaisante qui, aussi surprenant que cela puisse paraître, a beaucoup à offrir à ses visiteurs.

VIANA DE CASTELO - LE PONT EIFFEL - LE FLEUVE LIMA

VIANA DE CASTELO - LE FORT

Le Fort Santiago da Barra , aussi appelé Château de Santiago da Barra et Château de Saint - Jacques le Bar Grand , est situé dans la ville de Monserrate dans la ville, du comté et du district de Viana do Castelo au Portugal .

En position dominante sur la rive droite du fleuve Lima , il avait pour fonction de défendre le port et le village de Viana da Foz, aujourd'hui Viana do Castelo .

Viana do Castelo - Le fort
VIANA DE CASTELO - CHAPELLE DES ÂMES (CAPELA DAS ALMAS)

Connue sous le nom de Matriz Velha, cette petite église baroque était le site de la première église paroissiale de Viana do Castelo. L'église a été reconstruite et agrandie au XVIIIe siècle. Le nom, la chapelle des âmes (Capela das Almas), vient de l'emplacement d'un cimetière sur le terrain


VIANA DE CASTELO - LE NAVIRE HOPITAL GIL EANNES -
Navire centenaire ayant servi de bateau de ravitaillement, d'hôpital flottant et
de brise-glace, transformé en musée.

LE GIL EANNES - NAVIRE HOPITAL -- VIANNA DE CASTELO

VIANA DE CASTELO - LE FORT

Le commerce maritime florissant avec l' Europe du Nord impliquait l' exportation de vins , de fruits et de sel , et l' importation de couverts , de tissus , de tapisseries et de verre . L'esprit commercial de Viana a atteint des proportions telles que la reine Maria II du Portugal a accordé une licence à l'association commerciale de Viana do Castelo en 1852 . Le même souverain - pour récompenser la fidélité de la population de Viana, qui ne s'était pas rendue aux forces du comte d'Antas ( 1847 ) - avait décidé d'élever la commune au rang de ville sous le nom de Viana do Castelo ( 20 janvier , 1848). Au 20ème siècle, il est devenu l'un des principaux ports portugais de pêche à la morue.

VIANA DE CASTELO centre historique

VIANA DE CASTELO - vue sur Santa Luzia
João Álvares Fagundes est un explorateur portugais natif de Viana do Castelo. Son expédition vers 1520 marque la première fois depuis l'Âge des Vikings que des Européens tentaient de coloniser l'Amérique du Nord.

VIANA DE CASTELO - GIL EANNES NAVIRE HOPITAL

VIANA DE CASTELO
LE NAVIRE HOPITAL  "GIL EANNES"
Navire centenaire ayant servi de bateau de ravitaillement, d'hôpital flottant et de brise-glace, transformé en musée. Il se visite et c'est un navire vraiment très bien entretenu.


Le navire-hôpital Gil Eannes , construit à Viana do Castelo aux chantiers navals de Viana do Castelo, a commencé son activité d'hôpital en 1955, soutenant pendant des décennies la flotte de morue portugaise qui opérait sur les rives de Terre-Neuve et du Groenland. Une fois la flotte de cabillaud désactivée, elle a été laissée à pourrir sur les quais de Lisbonne pendant de nombreuses années.

En 1998, la Fondation Gil Eannes, FP, la considérant comme le patrimoine culturel et affectif de la ville, l'a sauvée de la ferraille pour environ 250 mille euros, après une campagne sans précédent qui a impliqué toutes les couches sociales viennoises.

Le 31 janvier 1998, il a été reçu de manière festive à Foz do Lima, où, après avoir été nettoyé et restauré, il a été ouvert au public, devenant un pôle d'attraction pour Viana do Castelo.

La conversion l'a transformé en un espace muséal, intégrant des salles d'exposition, des salles de réunion et une boutique de souvenirs .

VIANA DE CASTELO - JOAO ALVAREZ FAGONDES

Viana do Castelo est aussi considérée comme la « Mecque de l'architecture », grâce aux nombreux grands noms de l'architecture portugaise contemporaine qui signent plusieurs installations et espaces de la ville. C'est le cas de la Praça da Liberdade, de Fernando Távora, de la bibliothèque d'Álvaro Siza Vieira, de l'auberge de jeunesse (Pousada da Juventude) de Carrilho da Graça, de l'Hôtel Axis de Jorge Albuquerque ou encore du centre culturel de Viana do Castelo, de Souto Moura, entre bien d'autres.

VIANA DE CASTELO - CENTRE HISTORIQUE

Le kiosque à musique de Beira Rio se trouve dans le Jardim da Marginal et est une construction Art déco du début du XXe siècle. Il est largement utilisé pendant les mois d'été comme scène pour des événements publics. VIANA DO CASTELO
Ancien Hôtel de Ville (XVIe siècle)

Après que l'ancien lieu de réunion de la commune ait été occupé par l'église de Santa Maria Maior (aujourd'hui Sé), cet hôtel de ville a été construit à l'extérieur de ses portes au début du XVIe siècle. C'est, comme tant d'autres constructions similaires dans le nord-ouest hispanique, un bâtiment à deux étages, avec la "Câmara" au rez-de-chaussée où se réunissait le conseil et au rez-de-chaussée une arcade pour abriter les personnes et les scribes qui ont écrit ici, pour les illettrés, les pétitions et autres documents adressés à la Chambre.

Le Musée du Costume de Viana do Castelo sur la Praça da República, au cœur du centre historique. Le bâtiment, construit en 1954, abrite un musée intéressant depuis 1997, qui présente une vitrine de toute la créativité dans la confection de costumes pour différentes occasions. Les bijoux en or et en argent peuvent également être appréciés ici. Plusieurs expositions temporaires s'y déroulent ainsi que des activités pédagogiques. Le musée est ouvert tous les jours de 10h à 13h et de 15h à 18h. L'entrée coûte 2 € et les étudiants et seniors paient 1 €.
Bâtiment et église de la Misericórdia (XVIe siècle) VIANA DO CASTEL

VIANA DO CASTELO - Ancien Hôtel de Ville (XVIe siècle)

Après que l'ancien lieu de réunion de la commune ait été occupé par l'église de Santa Maria Maior (aujourd'hui Sé), cet hôtel de ville a été construit à l'extérieur de ses portes au début du XVIe siècle. C'est, comme tant d'autres constructions similaires dans le nord-ouest hispanique, un bâtiment à deux étages, avec la "Câmara" au rez-de-chaussée où se réunissait le conseil et au rez-de-chaussée une arcade pour abriter les personnes et les scribes qui ont écrit ici, pour les illettrés, les pétitions et autres documents adressés à la Chambre.


Bâtiment et église de la Misericórdia (XVIe siècle)VIANA DO CASTELO

Créée en 1520, la confrérie de la Misericórdia de Viana s'est développée de telle sorte qu'au début du deuxième quart du XVIe siècle, la table a décidé de construire la "Casa das Varandas".

Ce bâtiment, datant de 1589, est un exemple unique d'architecture d'inspiration Renaissance et maniériste, avec des influences italiennes et flamandes. En 1716, commencèrent les travaux de réaménagement de l'église, qui fut remise à l'ingénieur militaire viennois Manuel Pinto de Vilalobos. Il a une grande richesse décorative dans son intérieur, en accord avec le goût de l'époque, soit par la sculpture de style national d'Ambrósio Coelho, par les beaux revêtements de tuiles, peints par Policarpo de Oliveira Bernardes, ou par les fresques au plafond par l'auteur de Manuel Gomes.

C'est sans aucun doute l'un des meilleurs exemples baroques de tout le pays.

(Visites à l'église - Du lundi au jeudi : de 9h30 à 12h30 et de 13h30 à 18h00, le vendredi : de 9h30 à 12h30 et de 14h00 à 18h00 , Sam. 10h00 - 13h00 et dimanche : Eucharistie à 12h00.

Prix ​​de la visite de l'église : 1 euro (La visite de la galerie d'exposition est gratuite). Visites guidées : En semaine entre 9h00 et 12h00 et entre 14h00 et 17h00, sur rendez-vous. Prix ​​des visites guidées : Église – 2 euros par personne ; Salles du musée – 2 euros par personne (maximum 15 éléments par groupe).

VIANA DO CASTELO - Ancien Hôtel de Ville (XVIe siècle)

La Capela das Malheiro est un bel exemple d'architecture rococodu XVIIIe siècle

Casa da Praça , Casa Malheiro Reimão ou Capela das Malheiro House (faisant allusion à la chapelle de la famille propriétaire - le Malheiro Reymão ), au centre de Viana do Castelo , est l'un des plus beaux exemples de l' architecture baroque portugaise .

Lui et tout son manoir qui lui est rattaché, dont la construction ou la reconstruction a été ordonnée par le frère D. António do Desterro Malheiro Reimão , à l'époque évêque de Rio de Janeiro et qui l'a placé sous la protection de São Francisco de Paula, dont il était très dévoué.

Outre l'élégante façade, pour certains auteurs l'œuvre de Nicolau Nasoni ou de son école, l'intérieur de la chapelle possède un remarquable retable en sculpture polychrome, selon Robert C. Smith, l' un des meilleurs exemples de la sculpture de Minho dans le style rococo , qui est attribué à André Soares.

VIANA DO CASTELO - JARDIN PUBLIC QUARTIER HISTORIQUE - BORD DU FLEUVE LIMA

Une statue féminine qui représente Viana do Castelo. Couronnée par un château, elle a une caravelle ronde sur sa main gauche. Il y a aussi quatre bustes qui représentent les quatre continents : Europe, Asie, Afrique et Amérique.

Le pont Eiffel est un viaduc métallique construit par la société Eiffel en 1878, qui traverse le fleuve Lima près de son embouchure, à Viana do Castelo, Portugal.

C'est un viaduc à poutre en treillis, mixte rail-route à deux niveaux, avec des approches sur treillis et piliers de fonte. Sa longueur est de 562 m.

Le chemin de fer passe à l'intérieur de la poutre, tandis que la circulation automobile emprunte le tablier supérieur, dont la largeur, après des travaux importants, est passée en 2007 de 6,88 m à 8 m.

Monumento a D. Afonso III

Construit avec 24 blocs de marbre d'Estremoz, ce monument a été inauguré le 29 octobre 2004 en l'honneur de D. Afonso III, roi fondateur de Viana.

L'œuvre, du sculpteur Paulo Neves, située sur la Praça D. Afonso III, fait allusion aux divers aspects de la vie et de l'action du roi fondateur. Ainsi, un bouclier sur le côté gauche représente le personnage guerrier, une aile sur le côté droit indique les caractéristiques du protecteur du royaume, les lignes droites de la tête représentent la couronne du Roi, tandis que la partie arrière de la sculpture, disposée en une spirale, évoque la croissance et la construction du Royaume, dont il fut l'ultime conquérant.

Fondateur de Viana da Foz do Lima, D. Afonso III fut l'un des personnages marquants de l'histoire nationale. Fils cadet de D. Afonso II, il devina la vocation maritime de l'embouchure de Lima, en lui accordant la charte le 18 juin 1258, lorsque « … faisant un Póvoa, au lieu-dit Átrio, dans l'embouchure de la Lima, pour auquel encore j'impose le nom de Viana. (…).

VIANA DO CASTELO LE FORT

Quelques sites historiques de Viana do Castelo à voir :
 
- Le navire-hôpital Gil Eannes, sur les quais (navire musée)
- La Praça da República
- L’incroyable intérieur de la Santa Casa Da Misericórdia.- Igreja da Misericordia - Adresse : Praça da República 62, 4900-532 Viana do Castelo
- Forte Santiago da Barra ( Rua Dos Estaleiros)
- Le pont Eiffel, qui porte la route et la voie ferrée reliant le Portugal à l'Espagne et au reste de l'Europe, a été restauré après plus d'un siècle de service. En ce qui concerne les héros de la ville, statue de João Álvares Fagundes, hommage aux pêcheurs de morue. C'est lui qui a découvert le chemin vers le Nord où l'on pouvait pêcher ce poisson.

Viana do castelo - L'entrée du bâtiment a Viana do Castelo
qui abrite le départ du funiculaire pour Santa Luzia


VIANA DO CASTELO
LE SANCTUAIRE SANTA LUZIA

Santuário de Santa Luzia - adresse : N13-6, Estrada
de Santa Luzia 4901-909 Viana do Castelo


Son centre historique a beau être compact, on y trouve des bâtiments religieux extravagants, de jolies places entourées de cafés et des petites rues commerçantes qui débouchent sur les berges du Rio Lima. L’horizon de la ville est dominé par le sanctuaire de Santa Luzia (Santuário de Santa Luzia), qui est une attraction inoubliable. En outre, le point de vue offert par le dôme de l’église est l’une des plus belles vues panoramiques que l’on peut trouver au Portugal. Viana do Castelo se trouve dans une région d’une immense beauté naturelle, est à proximité de plages sauvages, est entourée par des collines aux forêts luxuriantes et est située en bordure du Lima.

SANTA LUZIA -VIANA DE CASTELO - VUE SUR LA VILLE ET LE PONT EIFFEL

SANTA LUZIA -VIANA DE CASTELO - VUE SUR LA VILLE A PARTIR DE SANTA LUZIA

Le sanctuaire du Sacré-Cœur-de-Jésus, souvent appelé également Sainte-Lucie d’après la dédicace initiale de l’église et la colline sur laquelle elle est située, domine la ville de Viana do Castelo au Portugal.

La dédicace initiale à sainte Lucie a été remplacée par l’actuelle au Sacré-Cœur de Jésus à la suite de la pandémie de grippe espagnole de 1918.

SANTA LUZIA -VIANA DE CASTELO - LE SANCTUAIRE

SANTA LUZIA -VIANA DE CASTELO - DETAIL DU SANCTUAIRE

LE SANCTUAIRE DE SANTA LUZIA - VIANA DO CASTELO

LE SANCTUAIRE DE SANTA LUZIA - VIANA DO CASTELO

Une première inauguration du sanctuaire eut lieu en 1904, mais les travaux sont achevés en 1959. L'architecte est Miguel Ventura Terra qui s'est inspiré du style romano-byzantin. La basilique est précédée d'un large parvis et d'un escalier monumental. L'intérieur, éclairé par trois rosaces, se réduit à un chœur et une abside sous des coupoles ornées de fresques. À 57 m au-dessus du sol, le lanternon supérieur du dôme central offre un panorama sur la ville et sur l'estuaire de la Lima. Pour s'y rendre il y a une route, un escalier et un funiculaire.

Pousada Viana do Castelo
Monte de Santa Luzia
Hôtel chic dans une villa Belle Époque, situé derrière le sanctuaire, avec vue panoramique, spa, piscine et petit-déjeuner gratuit.

Sculpture en bronze d’Antonio Carneiro située devant la basilique Santa Luzia à Viana do Castelo.
António Carneiro, est né le 16 septembre 1872 à Amarante et il est mort le 31 mars 1930 à Porto, c'était un peintre portugais.

Le funiculaire de Santa Luzia - VIANA DO CASTELO
Le funiculaire de Santa Luzia - VIANA DO CASTELO

VUE A PARTIR DE SANTA LUZIA SUR VIANA DO CASTELO



CITANIA DE SANTA LUZIA - RUINES PREROMAINES. 
VIANA DO CASTELO

Les ruines pré-romaines de la Citânia de Santa Luzia et château
Adresse : 4901-910, R. de Santa Luzia, Viana do Castelo

Santa Luzia - Viana do Castelo - 8éme siècle avant Jesus Christ .
RUINES DE LA CITANIA SANTA LUIZA

Les Ruines de la vieille ville de Santa Luzia ou Santa Luzia Citania est un Citania situé dans la paroisse d' Areosa , Viana do Castelo . Il est classé Monument National . Il est attribué à l'âge du fer du nord du Portugal, ainsi qu'à la citânia de Briteiros et à la Cividade de Âncora . On estime, par la succession trouvé là, qu'il était occupé à différentes périodes de la 8ème siècle avant JC , développé en l' époque romaine , et jusqu'à au moins le 5ème siècle .

L'existence de la citânia est connue depuis 1722 , et les premières fouilles ont eu lieu en 1876 à l'initiative de Joaquim Possidónio Narciso da Silva .

Santa Luzia - Viana do Castelo - 8éme siècle avant Jesus Christ .
RUINES DE LA CITANIA SANTA LUIZA - UN SECTEUR DE LA CITE

Santa Luzia - Viana do Castelo - 8éme siècle avant Jesus Christ .
RUINES DE LA CITANIA SANTA LUIZA -GROUPE D'HABITATS RONDS

Santa Luzia - Viana do Castelo - 8éme siècle avant Jesus Christ .
RUINES DE LA CITANIA SANTA LUIZA - MUR D'ENCEINTE

Santa Luzia - Viana do Castelo - 8éme siècle avant Jesus Christ .
RUINES DE LA CITANIA SANTA LUIZA - HABITATION

Santa Luzia - Viana do Castelo - 8éme siècle avant Jesus Christ .
RUINES DE LA CITANIA SANTA LUIZA - HABITATION PLUS COMPLIQUEE

Santa Luzia - Viana do Castelo - 8éme siècle avant Jesus Christ .
RUINES DE LA CITANIA SANTA LUIZA

Situé au sommet du Monte de Santa Luzia, il est situé dans un endroit géographiquement stratégique, avec un immense domaine visuel de toute la zone environnante, de l'estuaire et de l'embouchure de la rivière Lima à la zone côtière atlantique. Il comporte trois rangées de murs avec des tourelles de renfort et plusieurs maisons aux plans différents.

Santa Luzia - Viana do Castelo - 8éme siècle avant Jesus Christ .
RUINES DE LA CITANIA SANTA LUIZA

Ses structures d'habitation sont majoritairement organisées en blocs séparés par des murs et des zones de circulation bien délimitées, dont certaines sont pavées. En règle générale, les habitations ont un plan circulaire, elliptique ou, bien que moins fréquent, rectangulaire, avec ou sans vestibule. Les entrées de ces maisons sont pour la plupart orientées dans le sens sud-ouest-sud-est, coïncidant avec la pente générale du terrain où se situe le village, afin de mettre les habitations à l'abri des eaux de pluie et des vents du nord.

Santa Luzia - Viana do Castelo - 8éme siècle avant Jesus Christ .
RUINES DE LA CITANIA SANTA LUIZA- FONDATION D'UNE HABITATION ARONDIE

En ce qui concerne l'aspect intérieur des maisons, et en plus de l'incontournable cheminée, on constate que le sol est généralement constitué du sol naturel lui-même, profitant parfois des rochers du sommet. Moins fréquente sera la construction d'un sol intérieur composé d'argile argileuse ou de gravier.

Seul un tiers de la superficie totale initialement couverte par Citânia est découvert, dont une partie importante a été perdue à la suite de la construction de l'hôtel de Santa Luzia et des routes d'accès respectives.


Santa Luzia - Viana do Castelo - 8éme siècle avant Jesus Christ .
RUINES DE LA CITANIA SANTA LUIZA


BARCELOS OU BARCELINHOS

(Situé à l’Ouest de Braga environ 20 kms)

BARCELOS - L'EMBLEME DE LA VILLE !! LE COQ.

Barcelos est une ville portugaise dans le district de Braga, région du Nord et de la sous - région de Cávado, avec environ 20 625 habitants.

Barcelos, agréable petite ville du nord du Portugal, à l’actif marché agricole, est un centre réputé de fabrication d’objets utilitaires et décoratifs en céramique, dont des coqs de toutes tailles aux riches décorations, qui illustrent la légende d’un volatile devenu symbole de la ville puis emblème touristique du pays. Cette légende est passée de génération en génération et le typique et bien connu « coq de Barcelos » est devenu ainsi un des symboles du Portugal. Il est symbole de foi, de justice et de bonne chance. Cette légende rappelle celle du miracle du pendu-dépendu, attachée au pèlerinage de Saint-Jacques-de-Compostelle.

L’histoire, reproduite dans tous les guides touristiques, imprimée sur toutes sortes de supports, s’est évidemment diversifiée avec le temps en une foule de versions et de variantes.

LA LÉGENDE DU COQ DE BARCELOS
 
Pendant un dîner chez un riche propriétaire de Barcelos une partie de l'argenterie fut volée et un des invités fut accusé du fait. Il fut jugé coupable par la cour. En dépit des preuves accablantes contre lui, il clama son innocence. Le magistrat donna à l'accusé une dernière chance de se justifier. Voyant un coq dans un panier près de lui, l'accusé dit : « Si je suis innocent, le coq chantera ! ». Le coq chanta et le prisonnier fut libéré.

BARCELOS - LE COQ. ON LE TROUVE PARTOUT DANS LA
VILLE DECLINE SOUS DIFFERENTES FORMES OU COULEURS.

BARCELOS - LE COQ. ON LE TROUVE PARTOUT DANS LA
VILLE DECLINE SOUS DIFFERENTES FORMES OU COULEURS.

BARCELOS - LE COQ. ON LE TROUVE PARTOUT DANS LA
VILLE DECLINE SOUS DIFFERENTES FORMES OU COULEURS.

L’idéal étant de visiter Barcelos un jeudi, pour voir son immense marché qui fait sa renommée. Il a lieu sur la place de la république, (campo da República), tous les jeudis (toute la journée, pas d’horaires particulier)

À visiter :

Secteur du vieux Pont :

Solar dos Pinheiro, située dans le centre historique très proche de l'Igreja Matriz, cette vieille maison du XVe siècle est l'un des rares exemples encore existants au Portugal de l'architecture civile médiévale.

Solar dos Pinheiro - BARCELOS

   Le Pilori de Barcelos 
(Adresse : Largo Dom Antonio Barroso – proche vieux pont)

Le Pilori de Barcelos est actuellement à côté de l'église de Barcelos, Igreja Matriz de Santa Maria Maior à proximité des ruines du Palais des Comtes de Barcelos.

On estime qu’il a été construit à la fin du XVe siècle ou au début du XVIe siècle. Lors de sa construction initiale, il était situé à Largo da Picota, entre la mairie et l'église paroissiale, et il a été déplacé à son emplacement actuel en 1905.

Il est classé d’intérêt public depuis 1933. C’est un pilori en style gothique, l’arbre octogonal se terminant en cage, comme le pilori de Vila Real. On peut considérer cette cage en granit, comme une lanterne sculptée gracieuse, typique de style.

Igreja Matriz de Santa Maria Maior - Largo do Município et Rua Dr. Miguel Fonseca - 4750-323 Barcelos - Monument du siècle. XIV, l'église paroissiale de Barcelos, dédiée à Santa Maria Maior, conserve sa force médiévale en apparence, embellie par quelques éléments décoratifs et architecturaux qui révèlent l'imposition du style gothique sur une structure romane.

BARCELOS - L'EGLISE MATRIX DE SANTA MARIA MAIOR

BARCELOS - Le Paço dos Condes a été construit entre 1406 et
1412, comme l'a déterminé Dom Afonso, huitième comte de
Barcelos, pour lui servir de résidence.


Paço dos Duques - Museu Arqueológico de Barcelos - Palais des Comtes de Barcelos.
Il a été érigé dans la première moitié du XVe siècle par l’initiative Alfonso I, duc de Bragance, et c’était un château somptueux. Il constitue le plus riche bâtiment Barcelos au moment où il a été construit. La décadence de ce palais a commencé à la fin du XVIIIe siècle. Dans les ruines aujourd'hui, il est on ne voit que la tour primitive, qui se tenait entre le pont de Barcelos et les quatre cheminées d’origine. Il a été gravement endommagé lors du tremblement de terre de 1755, et il s’est définitivement effondré en 1801. En 1872, alors que l’édifice était en état de ruine, la municipalité de Barcelos, était déterminée à démolir ce qui restait. Cette démolition ne vint jamais à se matérialiser en totalité, en raison de plusieurs manifestations de la part de la population qui était contre. On a sauvé seulement que certains murs et une cheminée allongée, ce qui ne peut pas nous donner malheureusement une idée sur sa grandeur d’origine. Ses ruines abritent aujourd'hui le Musée Archéologique de Barcelos.

BARCELOS - LE PONT MEDIEVAL

Le pont de Barcelos.
Le pont médiéval de Barcelos est situé sur la rivière Cávado, dans la ville de Barcelos. Il constituait un point de passage important pour les pèlerins du Chemin Portugais de Saint-Jacques et pour les grandes foires qui avaient eu lieu à Barcelos des Moyen Age. A été construit entre 1325 et 1328 sur l'initiative de Pedro Afonso, comte de Barcelos, bien que certains auteurs se réfèrent à une reconstruction qui est due à Alfonso I, duc de Bragance. Mais le pont primitif, existait. En 1801, la structure a été fortement ébranlée sur son côté nord par la chute de la tour et les comtes de Barcelos ont été obligés d'entreprendre d’importants travaux pour le remette en état. Le pont est composé de cinq arches inégales, avec une plus grande et plus celles qui suivent le milieu de la rivière. Il présente sculpter sur ses piliers de style gothique, sculpté (talha-mares) la hauteur des marées.

BARCELOS - LE COQ

LE COQ DE BARCELOS

Adresse : Av. da Liberdade 26, 4750-312 Barcelos.

À 200 m vers l’Est. On peut y aller à pied. Également un autre exemplaire, différent en couleur, proche du pont, à côté de l’Igreja Matrix.

Mais on en trouve en fait un peu partout dans la ville.

La tour Médiévale - Le mur de Barcelos, il ne reste que la tour de Barcelos, situé dans la ville.
BARCELOS - LA TOUR MEDIEVALE
ADRESSE / Largo da Porta Nova 22, 4750-329 Barcelos- 400 M AU NORD DU PONT,
A COTE DU TEMPLE JESUS DA CRUZ -

C’est le vieux donjon du village, avec ce qui reste de l'une des trois tours du mur l'original, dont les portes donnent accès à l'intérieur du village. Cette tour a été construite au XVe siècle par ordre du 8ème Comte de Barcelos, et a d’abord servi de résidence de la mairie. La tour a été bâtie sur un plan quadrangulaire, avec des murs formés par des pierres énormes de granit, qui, sur le côté nord, on parfois deux mètres d'épaisseur. Barcelos était autrefois un point de passage obligatoire pour ceux qui font le chemin nord-sud, la construction d’un pont en pierre dans la première moitié du XIVe siècle a augmenté la prospérité de la ville de Barcelos, qui ne connaissait pas de château dans la ville même. Tour de style gothique tardif. La base actuelle se compose de quatre étapes octogonales.

Eglise - Templo do Senhor Bom Jesus da Cruz
Adresse : Largo da Porta Nova 14, 4750-329 Barcelos – 400 m au nord du vieux pont.

BARCELOS - EGLISE DE SENHOR BOM JESUS DA CRUZ

L'origine de l'église de Senhor Bom Jesus da Cruz est liée à l'apparition mystérieuse d'une croix faite de terre noire sur le sol de Campo da Feira, en décembre 1504, et où une petite chapelle fut bientôt construite pour rappeler le signe divin. Deux siècles plus tard, en 1704, une église fut construite sur le même site selon le projet de João Antunes. Le célèbre architecte portugais a opté pour un style très caractéristique du nord du pays, dans lequel le granit, principal matériau utilisé dans la construction locale, et la chaux ont été combinés dans des formes baroques harmonieuses, en l'occurrence d'inspiration italienne.

L'intérieur, avec une disposition octogonale, impressionne par la robustesse du monument que l'on peut voir à travers les murs épais et le lourd dôme de granit, mesurant environ 10 mètres de diamètre. Remarquez les autels dorés, notamment celui avec l'image de Senhor da Cruz datant du XVIIIe siècle. Panneaux de carreaux des XVIe et XVIIIe siècles par João Neto, un carreleur de Lisbonne.

EN VRAC , BEAUCOUP DE BELLES MAISONS ANCIENNES, DE MONUMENTS, DE CHOSES A VOIR A BARCELOS.

SE PROMENER AU HASARD DANS LES RUES DE LA VILLE ANCIENNE VOUS PERMETTRA D'ADMIRER DES CHOSES EXCEPTIONNELLES.

BARCELOS - EGLISE DE SENHOR BOM JESUS DA CRUZ

Chafariz do Largo da Porta Nova - BARCELOS

BARCELOS - LA TOUR MEDIEVALE

Chafariz do Largo da Porta Nova - BARCELOS

BARCELOS - LA TOUR MEDIEVALE

TRES JOLIE MAISON ANCIENNE SITUEE A COTE DE
LA TOUR MEDIEVALE - BARCELOS

MAISON ANCIENNE A CÖTE DE LA TOUR MEDIEVALE - ON
APERCOI UN COQ EVADE ET AU PREMIER PLAN
DE BEAUX JARDINS MUNICIPAUX.


BARCELOS - JARDIN DAS BARROCAS. Daté du siècle. XVII, dans un style rococo provincial élaboré. Il a été construit de manière à être apprécié par ceux qui gravissent l'espace paysager, avec une entrée monumentale au centre, entre obélisques, orientée vers le temple de Senhor da Cruz. Jardim das Barrocas est une œuvre du XXe siècle.

BARCELOS - EGLISE DE SENHOR BOM JESUS DA CRUZ - DETAIL DU CLOCHER

BARCELOS - EGLISE DE SENHOR BOM JESUS DA CRUZ

BARCELOS - EGLISE DE SENHOR BOM JESUS DA CRUZ


BARCELOS - JAMDIM DE BARROCAS - En plein centre historique de la ville de Barcelos se trouve l'une des plus belles œuvres d'art du jardinage du Minho et certainement du pays. C'est le Jardim das Barrocas, également connu sous le nom de Passeio dos Assentos ou Passeio das Obras.

BARCELOS - JARDIM DE BARROCAS - Construit au XVIIIe siècle en tant que partie intégrante du temple du Seigneur de la Croix ou de l'église de Bom Jesus da Cruz, situé juste en face de la place Porta Nova, les jardins de style rococo présentent une passerelle avec un mur de dont de grandes se détachent, de grandes baies vitrées donnant sur le jardin, ainsi qu'une entrée monumentale entre obélisques et fontaines.

Leur beauté extraordinaire et l'aspect soigné avec lequel ils sont entretenus grâce à l'effort engagé des employés de la municipalité de Barcelone font de ces jardins une véritable carte de visite de la ville de Barcelos.


BARCELOS - JARDIM DE BARROCAS - Jardin public, baroque et néoclassique. Jardin avec un plan trapézoïdale, développé en terrasses, à travers deux niveaux, le mur baroque à deux sections, orné d'urnes à feux et volutes, avec deux fontaines et un escalier monumental au centre, flanqué d'obélisques néoclassiques, subsistant encore de l'original Passeio Public. La conception rappelle l'œuvre d'André Soares, en particulier à l'arrière des fontaines qui ressemblent à certaines du sanctuaire de Bom Jesus do Monte, faisant référence à la conception des travées à des traités, à savoir l'œuvre de Vignola. Le jardin qui existe aujourd'hui est un jardin à la française réalisé au XVIIIe siècle. orné de topiaires géométriques


BARCELOS - LE JARDIN DE BARROCAS - XVIIIe siècle, début des années 80 - Suite à l'approbation donnée par D. Maria I à la demande faite par certains Barcelonais pour la construction d'une "passerelle publique" pour mettre en valeur la partie sud de Campo da Feira, reliant le temple de Bom Jesus da Cruz avec celui de Terceiros;

Les travaux ont commencé sur le terrain dit Barrocas, fourni par la Casa de Bragança ; 1783 - achèvement des travaux ; 1867 - dans son œuvre, l'Abade do Louro vante le "mur appelé les travaux... tout en pierres fines, vaste, avec un trottoir tout pavé de bonne pierre carrée, avec des sièges confortables, avec des rebords de fenêtres élégants; par dessus le mur avec de belles pyramides en forme de grands vases, placés en symétrie voyante entre les sièges ; avec de grands obélisques bien préparés sur les côtés ; dont l'escalier divise le mur en deux volées, et dans chaque volée il y a une belle et élégante fontaine, avec celle du côté de la source sans eau, et celle à l'ouest avec elle, dont les restes lui fourniront le grand bassin, qui se trouve au dos de cette fontaine" (LOURO 1867, 112) ; XXe siècle - construction du jardin actuel.


BARCELOS - PORTE DU HJARDIN DE BARROCAS - Au centre, à l'intersection des deux sections, se trouve une entrée monumentale, entre des obélisques, couronnés de pinacles, surmontés de plinthes en pierre fendue, avec un escalier en plein cintre surmontant les dénivelés des niveaux. Au centre des travées, il y a deux fausses façades, disposées en position symétrique, encadrées d'angles pilastrés, couronnées de pinacles, surmontées de pignons dentelés, couronné par des paires de feux.

Ils sont divisés en trois couches, les latérales, enduites et peintes en blanc, où les ouvertures sont déchirées en un arc déprimé, surmonté d'une corniche triangulaire, et la centrale, en pierre, creusée au centre, par un ovoïde- ouverture en forme, décorée d'ailettes, servant de dossier à deux sources opposées.

BARCELOS - Statue en bronze grandeur nature avec la figure de D. António Barroso, par le sculpteur José Fernandes de Sousa Caldas et par l'architecte Marques da Silva. Il date de 1931. Il est situé à Largo Dom António Barroso en face de la mairie.


Barcelos - Solar dos Pinheiros vue du pavie de l'église matrix - Solar dos Pinheiros, située dans le centre historique très proche de l'Igreja Matriz, cette vieille maison du XVe siècle est l'un des rares exemples encore existants au Portugal de l'architecture civile médiévale. Avec un paysage privilégié sur la rivière, il a été construit en 1448 par D. Pedro Esteves, docteur en droit civil et canon, mais il y a ceux qui attribuent sa construction à son beau-père, Tristão Gomes Pinheiro.

La vérité est que la maison était la résidence de la famille Pinheiros qui était Alcaides-mor de Barcelos depuis des générations. Comme c'est typique de l'époque, il est formé de deux hautes tours entre lesquelles se développe un corps central inférieur. Remarquez les portes ogivales et un détail décoratif singulier dans la tour orientée au sud, une figure féminine et l'autre mâle barbu. On pense que c'est une allusion au père barbu d'Inês Perez qui a furieusement tenté d'arracher sa propre barbe quand il a découvert l'amour illicite entre sa fille et le maître d'Avis et dont le premier duc de Bragance, D. Afonso, qui est également né le huitième comte de Barcelos.


BARCELOS - Au XIIIe siècle, il existait déjà à Barcelos une église paroissiale à la place de l'actuelle, un édifice de style roman de bonne qualité, comme en témoignent les traces retrouvées dans les restaurations de l'église. Au 14ème siècle, entre 1325 et 1350, le bâtiment a été largement remanié en style gothique par l'initiative de D. Pedro Afonso , 3e comte de Barcelos . Le bâtiment a été remanié à nouveau vers 1460, quand il était comte D. Afonso . En 1464, une collégiale est instituée par D. Fernando , 9e comte de Barcelos.

En 1495, le roi João II nomma un nouveau prêtre chrétien , Gil da Costa, comme prieur de la collégiale . Au début du XVIe siècle, l' abside semi-circulaire d'origine a été reconstruite et le chœur a commencé à avoir un plan rectangulaire. La voûte étoilée à l'intérieur a un renflement daté de 1504 et nommé d'après le prieur Gil da Costa, qui a probablement payé pour la construction du nouveau chœur.

n 1869, la collégiale de Barcelos est dissoute. Dans la première moitié du 20ème siècle, l'église a subi une restauration majeure qui a tenté de restaurer une partie de la forme originale du bâtiment. Les chapelles de l'abside ont été refaites en style néo-gothique , le grand chœur a été supprimé et l'orgue a été déplacé à l'emplacement d'un ancien autel. Sur la façade principale, une rosace néo-gothique a été construite sur le portail, éliminant les fenêtres du XVIIIe siècle. Tout au long des XVIe, XVIIe et XVIIIe siècles, l'église s'enrichit de nombreuses chapelles aux retables de styles différents, en plus de monuments funéraires. Dans la première moitié du XVIIIe siècle, le clocher actuel a été construit , en utilisant des pierres extraites du Paço dos Condes de Barcelos voisin , et l'ancienne rosace gothique de la façade a été remplacée par des fenêtres rectangulaires. Une grande partie de l'intérieur était, également au début du XVIIIe siècle, recouverte de panneaux de tuiles blanches et bleues, commandées aux ateliers de Lisbonne. ] En 1727 fut installé l' orgue , construit par le frère Manuel de São Bentoet avec une boîte à découper sculptée par Miguel Coelho . - source Wikipédia.

BARCELOS - LE VIEUX PONT
BARCELOS - LE PILORI
BARCELOS - LE PALAIS DES COMTES DE BARCELOS ET DEVANT LE PILORI - 

Le Paço dos Condes a été construit entre 1406 et 1412, comme l'a déterminé Dom Afonso, huitième comte de Barcelos, pour lui servir de résidence. Le palais symbolisait la souveraineté et l'importance du comté de Barcelos. Malgré son démantèlement au fil des siècles, ses proportions d'origine sont connues. Il avait un corps central en L, auquel s'ajoutaient trois corps et une tour sur le pont, ce qui lui donnait un volume intéressant. Les barcelenses l'appelaient "le château".

Le bâtiment a été ruiné pendant des siècles, jusqu'à ce qu'il soit offert par la maison de Bragança à la municipalité de Barcelos en 1874. Dans les décennies suivantes, certains murs ont été démantelés et la pierre a été utilisée pour la construction du clocher de l'Igreja Matriz et pour le pavage des rues. Il a été classé monument national le 16 octobre 1910, les démolitions ont été interrompues et les tentatives de reconstruction qui n'ont jamais restauré la grandeur d'origine de l'édifice n'ont jamais été restaurées.

BARCELOS - L'EGLISE MATRIX
VUE L'AUTRE RIVE DU FLEUVE CAVADO ET AU LOIN L'IGREJA : Igreja Matrix
de Santo Andro Apóstolos de Barcelinhos. ( BARCELINHOS, FREGUSIA OU QUARTIER DE BARCELOS))
BARCELOS - VUE SUR LE SYNDICAT D'INITIATIVE
BARCELOS - MAISONS BOURGEOISE ANCIENNES PROCHES
DU SOLAR DOS PINHEIROS
Barcelos - Eglise matrix
BARCELOS - SOLAR DOS PINHEIROS
BARCELOS - SOLAR DOS PINHEIROS

Barcelinhos est une freguesia portugaise, située dans la municipalité de Barcelos.
La population en 2011 était de 1 781 habitants, sur une superficie de 2,76 km².
.
La rive opposée du fleuve c'est le quartier de Barcelinhos. Ils le font savoir !!

BARCELOS - QUARTIER HISTORIQUE

La rivière Cávado divise la commune de Barcelos environ en deux, sur son chemin vers l'Atlantique. Cet itinéraire baigne 14 paroisses, créant, le long de ces espaces à grand potentiel touristique, des lieux d'accès piétonnier, à travers des parcours naturels d'une beauté unique. La rivière rassemble également des scénarios pour la pratique de sports nautiques, dont la pêche, le canoë-kayak, le motonautisme et l'aviron. C'est également le cadre d'espaces emblématiques tels que l'Ilha do Tostão, le pont Eiffel et le pont médiéval, en plus de garder des souvenirs du pèlerinage à Santiago et de l'évolution de la ville de Barcelone au fil des siècles. Plus qu'un cours d'eau, le « Celando » fait partie de l'identité historique du territoire local. Pour en savoir plus sur ce cours d'eau qui marque l'identité géographique de la commune de Barcelos et de toute la région du bas Minho.

BARCELOS - LE RIO CAVADO -LA PLAGE et cause COVID en juillet 2021, personne !!!

LA PLAGE DE BARCELOS - PLAGE FLUVIALE SUR LE RIO CAVADO.

BARCELOS - VUE A PARTIR DE LA RIVE DU RIO CAVADO FACE A LA VILLE HISTRORIQUE VERS LE SYNDICAT D'INITIATIVE

Le syndicat d'initiative est ouvert de mi-mars à septembre, ouvert du lundi au vendredi de 9h30 à 18h, le samedi de 10h à 13h et de 14h à 17h, le dimanche de 10h à 13h et de 14h à 16h d'octobre à mi-mars, ouvert du lundi au vendredi de 9h30 à 17h30, le samedi de 10h à 13h et de 14h à 17h.
Téléphone : +351 253 811 882
ADRESSE DE L'OFFICE DE TOURISE : 8, Largo Dr. José Novai - Barcelos

Capela De Nossa Senhora Da Ponte - Située à l'entrée du pont médiéval
sur la frégusia de Barcelinhos.

Casa da Azenha - Cette maison bien entretenue est utilisée pour des expositions qui y sont organisées et pour un service d'informations qui sont fournies aux pèlerins en route pour Saint-Jacques-de-Compostelle.

LE VIEUX PONT MEDIEVAL

PALMEIRA
(Nord de Braga)


Palmeira

Le château de D. Chica
Av. do Cávado, 4700-690 Palmeira

Le château de D. Chica, également appelé Palm Castle, Casa da Chica ou palais de D. Chica, est situé dans la ville de Palmeira, municipalité de Braga.

C'est un bâtiment somptueux, aux caractéristiques éclectiques dans un style romantique, conçu par l’architecte suisse Ernesto Korrodi.

Sa construction a débuté en 1915, à l'initiative de Francisca Peixoto de Sousa, née au Brésil, qui a ordonné à de nombreuses espèces d'arbres existant actuellement dans la forêt environnante de venir de son pays.

Les travaux sont interrompus en 1919, lorsque Francisca se sépare de son mari.

Tout au long de son histoire, il a changé plusieurs fois de propriétaire, traînant les travaux pendant des décennies, ne s'achevant qu'en 1991, adapté au restaurant et au bar.

Il a été approuvé comme propriété d'intérêt public par le décret du 20 Février, 1985.

Actuellement, le bien est dans un état de négligence et de dégradation, après avoir traversé un différend juridique concernant sa propriété, impliquant plusieurs entités.

La forêt environnante est caractérisée par une végétation exotique (amande du Brésil, Pau Santo, pin brésilien, palmier, eucalyptus, japonais et autres) et de nombreuses variétés nationales (chêne, sycomore, cèdre, pin sauvage, châtaignier, saule, mimosas, liège et autres), avec des chemins sinueux. Le lac dans son ensemble, avec une grotte avec de fausses stalactites, se détache, traduisant une vision romantique, qui entendait imiter l’époque médiévale, reproduisant la nature, préférant la « forêt » au jardin baroque géométrisé.

LIEU ACTUELLEMENT FERME ET A VENDRE 6 07-2021. AUCUNE VISITE POSSIBLE. HAUTS MURS CLOTURES. NE PAS SE DEPLACER ACTUELLEMENT.


LE MONASTÈRE DE SAINT MARTIN 
A TIBÃES
Mosteiro de São Martinho de Tibães


TIBAES
LE MONASTERE SAINT MARTIN
À 6 kms environ du Nord Est de Braga on retrouve le Monastère bénédictin de Tibães. Construit à l’emplacement d’une ancienne cité romaine, appelée Tevilanis, sa fondation se doit à São Martinho de Dume au VIe siècle, sous le règne suève de Théodomir. En 1078, le chevalier Paio Guterres da Silva décida de reconstruire le monastère. Plus tard, en 1567, il devint la maison mère de l’Ordre de Saint-Benoît au Portugal et au Brésil. .


C’est au XVIIe siècle que fut construit l’actuel monument, l’un des plus grandioses du pays (avec quatre cloîtres) et à la grande richesse décorative, selon le projet de Manuel Álvares. Entre autres éléments intéressants, on citera le travail du bois sculpté doré, les retables et la décoration baroque d’André Soares (1750), l’orgue baroque (1786) et les azulejos. Ce fut alors une véritable école atelier chantier des arts décoratifs, influençant le développement artistique des XVIIe et XVIIIe siècles au Portugal.

La grandeur du monastère est complétée par la forêt environnante où se trouve une chapelle du XVIIIe siècle consacrée à Saint-Benoît.

LE MONASTERE DE TIBAES

Les origines
Trois mille ans se sont écoulés sur les restes que l'homme de l'âge du bronze nous a laissés sur une colline surplombant la vallée du Cávado, aujourd'hui le jardin de la chapelle de São Bento sur la clôture du monastère de São Martinho de Tibães. Les fosses découvertes là-bas – liées au stockage et à la mouture des céréales – témoignent d'une ancienne occupation humaine dans cette région.

Au début du deuxième millénaire, après la romanisation et l'occupation souabe-wisigoth, les moines bénédictins de Cluny, soutenus par les rois de León et de Castille et par les encouragements papaux, fondèrent des monastères entre Douro et Minho, remplaçant les anciens cénobies et imposants la liturgie romaine. C'est dans ce cadre qu'entre 1070 et 1077, la création du Monastère primitif de Tibães, dédié à Saint Martin de Tours, qui, né à Panónia (Hongrie) peut-être en 317, fut fondateur prolifique de monastères et évêque de Tours.

le monastère médiéval
Monastère familial dont la fondation est attribuée à Paio Guterres da Silva, major d'Afonso VI, roi de León et de Castille, sa construction initiale aurait une matrice préromane qui, au cours de la construction, évoluerait vers le roman, avec la communauté soumise à la Règle et l'observance bénédictine. En 1110, les comtes D. Henrique et D. Teresa font don à Tibães des terres adjacentes au monastère et lui accordent la Charte de Couto, un exemple suivi par D. Afonso Henriques qui lui fera don des bosquets de Donim, au terme de Guimarães, et celui d'Estella, au nord de Póvoa de Varzim. Les conditions nécessaires étaient ainsi créées pour que le monastère devienne l'un des plus importants de la région nord du pays.

Au XIVe siècle, les crises sociales et économiques conduisent les monastères à une décadence morale et matérielle, aggravée par la fin du gouvernement des abbés perpétuels et leur remplacement par des commendataires, nommés par le roi ou le Saint-Siège sans appartenir à la communauté et même sans être clercs. Mais comme il y a des exceptions pour tout, le gouvernement du commendateur Frei António de Sá était de ceux-là. Entre 1530 et 1550, il ordonna la construction d'un dortoir, d'un noviciat et de tous les autres ateliers nécessaires à une communauté pour vivre et gouverner sans faute au sein du cloître. De ces époques, on peut voir les vestiges du mur de façade et du seuil de porte existant à côté de l'entrée de voiture actuelle


L'EGLISE DU MONASTERE DE TIBAES
Construite à l'emplacement de l'ancienne église romane, l'église actuelle a été édifiée entre 1628 et 1661 sur le modèle architectural maniériste. Elle possède une nef unique en forme de croix latine, une voûte en pierre, des chapelles latérales dans la nef et deux autels dans le transept.

L'utilisation de la sculpture sur bois doré est ici mise en évidence dans le décor rococo qui, tombant avec une grande plasticité de la couronne du retable principal, descend par la tribune et le trône et se fixe sur les fûts lisses des colonnes, qui spiralent des couronnes de coquillages.

Puis la gravure déborde du retable et envahit cantonnières, cadres et stalles. Seule la rigidité hiératique des images du retable principal – São Martinho de Tour au centre, flanquée de São Bento et Santa Escolástica (du frère José de Santo António Vilaça) – donne une certaine quiétude à cette turbulence des formes.

C'est l'un des chefs-d'œuvre les plus remarquables de l'art portugais, créé entre 1755 et 1760 par l'architecte André Ribeiro Soares da Silva et les sculpteurs José Álvares de Araújo et Frei José de Santo António Vilaça, soutenu par les meilleurs maîtres sculpteurs, peintres et doreurs De région.

Le transept, séparé du chœur et de la nef par des balustrades en bois noir avec des applications en laiton doré, présente les autels rococo de Nossa Senhora do Rosário - avec des images de Santo António et São Sebastião - et de São João Baptista, avec les images de la Vierge et l'Enfant et Saint Emídio.

Les retables, par les mêmes auteurs de la sculpture rococo du chœur, ont remplacé les maniéristes, qui ont été transférés en 1755 au monastère de São Romão do Neiva, à Viana do Castelo, avec le retable du chœur, les chaires et le oratoire du grand chœur.

Il est intéressant de rappeler que, dans ce monastère, le culte de Notre-Dame du Rosaire remonte au XVIe siècle et à l'époque du commendateur Frei Bernardo da Cruz, qui ordonna la construction d'une chapelle qui lui était dédiée dans l'ancien Église romane. La confrérie, alors créée, perdure et existe, célébrant sa fête le troisième dimanche d'octobre.

Des deux chaires, la prédication se faisait pour le peuple, dans le but d'éduquer et de transmettre les enseignements de l'Église. Ici aussi, dans les messes solennelles lors du chapitre général, les étudiants finalistes en théologie ont soutenu leur thèse, les « conclusions », avec leur argumentateur qui l'a interrogé dans l'autre chaire.

Outre le style rococo, bien présent dans le chœur et le transept, le parcours à travers les différents styles de ciselure s'achève dans la nef de l'église. Lorsque nous visitons les chapelles de Santa Gertrudes, Santa Ida, Santo Amaro, Senhor da Piedade, Sagrada Familia, Santa Lutgarda et Santíssimo (ou Descente de Croix) nous apprenons à connaître et à mieux distinguer les styles : maniériste, baroque (national et johannique ) et néoclassique.

Toujours dans la nef de l'église, se détache l'immense orgue à tuyaux.

Construit en 1784 par le maître facteur d'orgue Francisco António Solha, il comprend un grand orgue et un orgue. La boîte sculptée dorée et en marbre a été conçue, en même temps, par le frère José de Santo António Vilaça et exécutée par les sculpteurs Luís de Sousa Neves et João Bernardo da Silva.

Son programme iconographique part de l'homme sur terre, représenté dans le bassin d'appui grotesque avec des atlantes et des masques, et à travers la musique, dans un voyage de coquillages délicats, de dentelles, d'instruments de musique et d'anges, il atteint les vertus de la foi, de l'espérance et de la charité qui la boîte.

A la fin du 20ème siècle, le buffet d'orgue a été restauré. Nous attendons toujours la restauration de la machine, dans l'espoir de pouvoir restituer à Tibães le son qui résonnait autrefois dans toute la zone entourant le monastère.

C'était l'œuvre remarquable d'un groupe d'architectes, sculpteurs, sculpteurs et doreurs, dont des noms tels que Manuel Álvares, Frei João Turriano, António de Andrade, Frei Cipriano da Cruz, António Fernandes Palmeira, André Soares, José Álvares de Araújo, Frei José de Santo António Vilaça ou Luís de Sousa Neves, qui a fait de cette église l'un des plus grands représentants de l'art religieux portugais.

Nous ne réinventons pas les écrits, ils sont donc issus du net. La majorité des écrits relatifs au Monastère de TIBAES sont extrait du site du monastère :
https://www.mosteirodetibaes.gov.pt/

IGREJA ST BENOIT - MONASTERE TIBAES - DETAILS DE L'EGLISE

Nous célébrons aujourd'hui la Saint-Benoît en évoquant le transfert de ses reliques à l'abbaye française de Saint-Benoît-sur-Loire.

Saint Benoît est né à Nursie, en Italie, au 5ème siècle (an 480) et est mort au 6ème siècle (an 547).

Il a écrit la Règle bénédictine, qui a cinq idées fondamentales : le silence, l'obéissance, la pauvreté, la prière et le travail.

Cette règle a été suivie dans toute l'Europe, atteignant également le Portugal, donnant lieu à la construction d'un grand nombre de monastères et à l'émergence de festivals et de pèlerinages en l'honneur de São Bento, en particulier dans la région nord du pays.

Même aujourd'hui, en plus de São Bento da Porta Aberta, à Gerês, il y a, entre autres lieux, le pèlerinage à São Bento : la Porte Ouverte, à Cossourado, Paredes de Coura ; de Seixas, à Caminha ;

Cando, dans la paroisse de Gavieira, Arcos de Valdevez; das Pears, à Vizela; da Várzea, à Barcelos ; d'Águas Santas, à Póvoa de Lanhoso.

Le pape Paul VI a déclaré saint Benoît Patron de l'Europe.

Le monastère de São Martinho de Tibães, fondé au XIe siècle, a suivi la règle de ce saint glorieux, devenant la maison mère de la congrégation bénédictine du Portugal et du Brésil, entre 1567 et 1834.

L'Abbé Général, élu tous les trois ans dans la salle capitulaire du Monastère de Tibães, était responsable de 22 monastères au Portugal et 13 au Brésil.

La vie de ce saint est bien représentée dans les formes médiatiques et artistiques les plus diverses présentes dans les différents espaces du monastère de Tibães.

IGREJA ST BENOIT - MONASTERE TIBAES

LE MONASTERE SAO MARTINHO DE TIBAES

Principaux événements qui ont marqué l'histoire du Monastère de
São Martinho de Tibães :

1071 et 1077 > Premières références documentaires ;
1110 > Donation de la Lettre de Couto par le Comte D. Henrique et D. Teresa ;
1517 > Attribution de la Charte de Charte à Couto du Monastère de Tibães par le roi Manuel Ier ;
1565 > D. Bernardo da Cruz, le dernier abbé commendataire, meurt, événement qui motivera le début de la réforme bénédictine ;
1567 > Création de la Congrégation bénédictine des Royaumes du Portugal, avec le Monastère de São Martinho de Tibães comme Maison Mère ;
1569 > Premier Chapitre général de la Congrégation, élu Abbé Général Frère Pedro de Chaves ;
1628 – 1750 > Définition architecturale de la structure actuelle ;
1834 > Extinction des ordres religieux et fermeture du monastère à la lumière des décrets des 5 et 9 août 1833, par José da Silva Carvalho ;
L'église, la sacristie, le cloître du cimetière, l'auberge, le coristado et le passage, appartenant encore à l'État portugais, sont à usage paroissial. Les parties restantes du bâtiment et la clôture du couvent sont fermées et vendues plus tard à des familles privées, connaissant les usages les plus divers ;
1838 > Acquisition de la clôture par José da Silva Reis, pour la valeur de 7 860 000 $;
1864 > Vente de l'immeuble à António de Moura Monteiro pour la somme de 3 605 000 $ ;
1894 > Grand incendie qui détruit le cloître du réfectoire, le réfectoire, le fourneau, le noviciat, le coristat, l'hospice, les ateliers, la maison de peinture et les dortoirs (est et sud) ;
1910 > Classement de la croisière en Monument National ;
1944 > L'église, le monastère et les autres constructions architecturales de la clôture sont classés Bâtiments d'Intérêt Public ;
1949 > Création de la Zone de protection spéciale ;
1986 > L'État portugais acquiert à titre privé le monastère et la clôture pour une valeur de 110 000 contos ;
1990 > Création du Musée du Monastère de São Martinho de Tibães, service dépendant de l'Institut portugais du patrimoine culturel ;
1994 > Agrandissement de la zone de protection spéciale et restauration de la chapelle de S. Bento ;
1995 > Construction de la nouvelle résidence paroissiale ;
1998 – 2002 > Restauration, restauration et réhabilitation de l'aile nord, de l'église, de la sacristie, du cloître du cimetière et du coristado ;
2006 – 2009 > Travaux de réhabilitation de l'ancien coristado, noviciat, aile sud, cloître du réfectoire et maison de tungstène, pour la création de structures d'appui et de services, agrandissement du parcours muséal et installation d'une communauté religieuse, d'un restaurant et d'une auberge ;
2011 > Travaux de réhabilitation de la cour devant le monastère.

MONASTERE DE TIBAES - INTERIEUR

MONASTERE DE TIBAES - INTERIEUR

MONASTERE DE TIBAES - INTERIEUR


Les invasions Napoléoniennes et les dégâts au monastère.
Survenant en trois vagues successives entre les années 1807 à 1810, les invasions françaises marquèrent l'entrée de la contemporanéité dans notre pays de manière traumatisante, avec une violence généralisée et des destructions qui renforcèrent la décadence de notre pays, qui s'était enregistrée depuis le début du siècle XIX.

Tous les mouvements militaires des invasions françaises et leurs conséquences d'un point de vue politique, économique et social sont raisonnablement étudiés et connus. Ces études reposaient pour la plupart sur des rapports de l'époque, à partir desquels nous soulignerons les volumes imprimés par José Acúrcio das Neves, qui nous a laissé une importante source d'informations sur les invasions [1] .

« Les invasions françaises ont parfois servi de prétexte à de nombreux pillages, vols et destructions, qui ont été menés par des paysans, sous couvert de l'impunité que la présence des Français procurait, mais où elle signifie parfois vengeance de nombreuses années de souffrance et d'assujettissement et autres. le remède facile aux situations pénibles du moment. Les monastères ont été la cible de cette colère et de ces soulèvements populaires, l'abbaye de Tibães en étant l'une des victimes ». Cette déclaration d'Aurélio de Oliveira peut être corroborée dans la transcription suivante :

Tout ce qui a échappé est dû au zèle et à l'amitié d'un chirurgien de la paroisse de Tibaens, nommé Domingos Joze (il ne faut pas oublier ce fait et montrer à tout moment notre gratitude à cet ami vraiment bon et honoré), dès alors qu'il apprit les horreurs commises dans le monastère, fit une demande et s'en présenta au maréchal Soult qui était entré à Braga, et accompagné d'une femme avec un panier de maçaens qui étaient alors des héros estimés, il traversa des dangers et craint de demander l'ordre de mettre des gardes au monastère et d'arrêter les vols qui y étaient perpétrés. Heureusement, le maréchal fut satisfait de la sincérité du présent et de la supplication, et ayant réalisé l'Ordre qu'il désirait, il vint le présenter aux Français qui, avec le peuple, volaient. Au vu de la Dépêche, c'étaient les Français jetés dehors, et les mêmes qui étaient pires qu'eux, parce qu'ils étaient tellement abreuvés de butin qu'il fallait le jeter avec des planches à épée. A cette époque, cependant, il n'y avait que du vin et le reste que je dis s'est échappé et que sans ce succès, le monastère aurait également été volé et peut-être incendié, comme le voulaient les gens, qui ont regretté plus tard de ne pas avoir fait il.[2] .

Dans le monastère de Tibães, mais aussi dans d'autres monastères et paroisses adjacentes, les habitants de diverses paroisses voisines détruisaient et pillaient tout ce qu'ils trouvaient, reflet des conditions de vie précaires de la population et de l'absence d'une administration judiciaire et policière pouvant contrôler les abus populaires.

A Tibães, le pillage effectué à la fois par les envahisseurs et le populaire a été énorme :

[…] encore une fois, de nombreuses provisions ont été faites à partir de l'Abogoaria, de nombreux fûts et plus d'outils car presque tous ceux du monastère avaient été volés.

De nouvelles clés ont été fabriquées pour presque tous les ateliers du Monastère et pour toutes les serrures les gardiens ont été changés car les clés ont été volées dans le butin . [3]

Ce fait n'est pas étranger à l'abandon auquel le monastère fut voté par ses religieux, tentant d'échapper à la fureur des envahisseurs. La peur s'empara de tous, qui s'enfuirent comme ils purent. Ils craignaient la fin de la Congrégation, comme nous le dit le P. Luís dos Serapins Saraiva, alors secrétaire de la Congrégation : le R.mo avait appelé la communauté et [...] leur avait dit qu'il serait bon qu'ils partagent la l'argent qu'ils avaient et que chacun pourrait dépenser en cas de dissolution de la Congrégation . [4]

Ainsi, il est compréhensible que le peuple, qui avait persécuté et assassiné le général Bernardim Freire de Andrade et ses assistants sur le terrain, sentant les moines fuir, n'ait pas hésité à attraper quelque chose de tout ce qui existait à Tibães. Des céréales de réception aux serrures ou clés de porte.

Le revenu des céréales de deux ans a été presque entièrement pillée, tel que rapporté par les États de Tibães de 1810: . Et beaucoup plus serait à portée de main si la réception avec la quasi - totalité du revenu de deux ans et tous les montants plus généreuses n'ont pas été volé il était dans la maison, ce qui ressort de leurs livres respectifs, et a payé à la Congrégation un conto et quatre cent mille rois de biens qui ont également été volés . [5] À cet égard, Fr. Luís dos Serafins déclare : Selon les calculs qui seront faits, 5000 et tant de boisseaux de pain de toute qualité seront volés à la Réception, dans le garde-manger tout, dans la cave ils seront ne laissez qu'un tonneau de vin vert et dans la cuisine et les ateliers bas, ils ne permettront même pas à une cuillère de remuer le bouillon . [6]Ces données nous sont confirmées par les États de Tibães pour le Chapitre général de 1810, qui indiquent les boisseaux de grains volés :

Décharge de blé : Les Français en volèrent cent soixante. Il vola les gens de ce Couto et leurs voisins neuf cent trente-huit et deux quarts.

Deuxièmement : Ils ont volé cinq mille six cent soixante-trois boisseaux et huit maquias.

Orge : Les Français ont volé cent cinquante-six boisseaux. [7]

Quand les Français sont arrivés au monastère, ils avaient des gens attendaient de plusieurs paroisses voisines qui les accompagnaient dans la bousculade: « alors que nous étions encore à l' intérieur du monastère, la plupart d' entre elle avait déjà pris beaucoup de pain sur la réception et le garde - manger a été complètement pillé. qu'il y avait pour les habitants de Freguezia […]Cette nouvelle est correcte et lorsque l'avant-garde des Français qui hérite de la majeure partie de la Cavalerie est arrivée, des gens de toutes les paroisses voisines étaient déjà là et avec eux ils viendront voler ce qui n'avait pas été volé par les mêmes jeunes gens de la maison et les gens qui sont entrés dès que nous sommes partis. Il n'y a aucune preuve qu'il y ait quelqu'un qui n'ait rien pris, à l'exception du chirurgien Domingos Joze et d'un fermier nommé Barca de Agoa, vieux et honorable ; tous les autres de Freguezia et Sinco ou 7 voisins prendront quelque chose. On sait que la maison de Bento Galdino était celle qui prenait le plus, notamment en termes de pain ». 8

La description de la vétusté du patrimoine du monastère est illustrative : Dans la Sachristia, ils ne pourront pas entrer et c'est pourquoi ce qui a hérité de tout s'est échappé, car le R.mo n'a pas pris la moindre mesure pour s'occuper de tels outils précieux comme il l'a fait. Comme ils ne pourront pas pénétrer les portes de la Sachristia et de l'Église, ils retourneront par la Tribune, la briseront puis descendront l'Église pour briser le Tabernacle, car ils entreront par effraction, brisant la porte et prenant le vide. que le sacristão y avait laissé, après les particules […]Ils entreront par effraction dans la petite maison de la chapelle principale à côté de l'Évangile et de là ils prendront la majeure partie de la cire qui y était conservée ; ils entreront par effraction dans le tabernacle de l'autel de S.ª Gertrudes, où ils ne trouveront rien : et de là ils enfonceront la porte qui va de la Capela Mor à la Sachristia, ils monteront les escaliers et iront à la Petite Chapelle de S. Joze, où ils feront des dégâts. La porte qui s'y trouve et qui mène au balcon du cloître a été brisée. Dans le Chœur, ils voleront le tissu qui recouvre les escaliers avec leur fer, ils enlèveront la cire qu'ils y trouveront, la splendeur du S.º Christo et des cordes apparaîtront jetées au sommet des crus, qui semblaient être utilisé pour jeter les mêmes crus vers le bas. Dans les dortoirs il n'y avait pas qu'une porte qui n'ait pas été cassée ou enfoncée, tout le mobilier privé, qui pour la plupart avait été laissé, a été volé, et dans les auberges, salon de coiffure, cafétéria et blanchisserie, l'infirmerie, le restaurant, etc., tout a été pillé et détruit. Au Chapitre Général, ils déchireront et enlèveront les rideaux et les crevasses de l'autel. Ils couperont le tissu qui recouvre les côtés de la table et l'emporteront ; se brisera dans le tiroir de la même table […] ils détruiront le jeu de tables et ceux-ci ainsi que le tissu et la couverture du jeu de billard ont tous été volés.

Dans la Librairie, ils s'introduisent dans les armoires des manuscrits ; ils soulèveront le plateau de la table pour voir s'il y a de l'argent caché dessous ; ils briseront les globes géographiques et astronomiques et ne voleront que quelques volumes de voyages […]

Dans tous les autres ateliers, ils feront le plus de dégâts possibles, prenant tout jusqu'à ce qu'il n'y ait plus de cuillère, pas de tasse, pas de bol, bref, pas de tige ; seuls les murs et le sol resteront. Les petites chapelles du cloître, le réfectoire, les chambres des jeunes gens, les écuries, les basses auberges, les abbayes, rien n'y échappait, et tous leurs ustensiles étaient volés sauf la chapelle calis de hua qui s'échappait en se cachant ; enfin, l'état misérable auquel le monastère a été réduit est incroyable, car après cela il n'y avait plus que des murs et des planchers, et surtout il a été brisé, volé, détruit et seulement de la paille et de la laine le long des couloirs parce que les nxergoens et les colxoens étaient jeté là-bas. Comme je l'ai dit, la librairie Sachristia, parce qu'ils ne pouvaient pas casser ou casser, mes déchets et le secrétariat, qui étaient cachés dans des coffres, se sont échappés[9] parce que l'autre partie n'a pas été volée, ce qui ne peut être connu qu'en vérifiant ce qui existe à l'Index, au moins il est certain que la porte était ouverte, les papiers par terre et certains ont été retrouvés à divers endroits. Comme nous l'avons vu, l'église, la librairie et la sacristie ont échappé au pillage.

NOTES :
[1] ACÚRSIO DAS NEVES, José – Histoire générale de l'invasion française au Portugal et de la restauration de ce royaume . Porto : Éditions Afrontamento (198 ?). 2 Vol., V tomes. Oeuvres complètes. Idem : Voyage sentimental dans la Province du Minho en août et septembre 1809. A Miscelânea . Lisbonne : Regia Impression, 1809. Numéro I, Cap. V.

[2] SARAIVA, Fr. Luís dos Serapins – Souvenirs sur l'état actuel des monastères que je visite, étant le 2e Secrétaire de la Congrégation après le congé français, et selon les nouvelles que j'ai trouvées et communiquées avec les Prélats et plusieurs personnes avec qui j'ai parlé à ce sujet.Bibliothèque nationale : Réservé. Manuscrit 11237, pages 97-97 v.

[3] ADB-UM, CSBP, États de Tibães , 409 – A (1801-1813), État de 1810, fl. 76.

[4] SARAIVA, Fr. Luís dos Serafins – Mémoire sur l'état actuel de Mosteiros …, fls. 92 v.-93.

[5] ADB-UM, CSBP, États de Tibães , 409-A, État de 1810, fl. 78.

[6] SARAIVA, Fr. Luís dos Serafins – Mémoires sur l'état actuel des monastères …, fl. 96.

[7] ADB-UM, CSBP, États de Tibães , 409.A – 1801-1813, fl. 68-72 v.

[8] SARAIVA, Fr. Luís dos Serafins – Mémoires sur l'état actuel des monastères …, fl. 95 v.-96.

[9] La manière dont le P. Luís dos Serafins a « causé » le Secrétariat et certains objets précieux est intéressante : j'ai souvent proposé au R.mo non seulement la prudence que nous devrions avoir avec le Bureau du notaire de la Sachristia et plus d'ateliers , mais aussi avec l'argent qui était dans la boîte, pour ce que j'avais commandé une boîte faite dans laquelle il me semblait que tout l'argent tiendrait et dedans pour enterrer si ou pour être en sécurité. Je n'ai pas reçu de réponse malgré le fait que j'ai répété plusieurs fois la même proposition. Les Français vont casser nos lignes ! La nouvelle arriva à Tibaens que le 17 les Français déjeuneraient à Braga ; Je me suis tout de suite occupé de ranger 4 coffrets dans lesquels j'ai mis le greffe et plusieurs couverts en argent, bougeoirs, encrier de Capitulo, les reliques de la Capela do R.mo et quelques autres objets, tels que gomil et plat de la même chapelle et fis mettent tout la nuit dans un hua voûté sous les auberges qui sont utilisées pour le parc à bois . SARAIVA, P. Luís dos Serafins – Mémoires sur l'état actuel des monastères …, fl. 92.
(Information MONASTERE DE TIBAES)

MONASTERE DE TIBAES - INTERIEUR

MONASTERE DE TIBAES - INTERIEUR -
LA CHEMINEE DES CUISINES

MONASTERE DE TIBAES - INTERIEUR


BRAGA
Braga, La Rome Portugaise


CAMARA DE BRAGA
Surnommée la Rome Portugaise en raison de ses nombreuses églises (plus d’une trentaine), on y trouve la cathédrale la plus ancienne du pays, la Sé de Braga.

Visiter Braga, c’est visiter la 3ème plus grande ville du Portugal. Connue pour ses campus universitaires et ses églises monumentales, elle possède également un riche patrimoine historique, et elle est une étape clé dans un circuit autour de Porto dans le nord du Portugal. À 55 kms de Porto, vous pouvez également vous y rendre facilement pour la journée.

LA CATHÉDRALE DE BRAGA
CATHEDRALE BRAGA
Adresse : Sé de Braga -Rua Dom Paio Mendes - Rossio da Sé 4700-424 Braga - 200 m au sud du jardin Santa Barbara.

Il s’agit de la cathédrale la plus ancienne du Portugal. Elle abrite aujourd’hui le siège de l’archidiocèse de Braga. Elle est classée au patrimoine du Portugal comme monument national.

La Se - Cathédrale de Braga

Elle se compose d’un temple principal, de plusieurs chapelles … Et c’est ici que sont enterrés les parents de de D. Afonso Henriques, premier Roi du Portugal.

La cathédrale accueille régulièrement des expositions temporaires.

La Cathédrale de Braga, l’archidiocèse la plus ancienne du Portugal, constitue le symbole de la ville. Construite au XIIème siècle sur ordre de D. Henrique et de D. Teresa, dont les tombeaux se trouvent dans le cloître, elle rivalisait avec la Cathédrale de Saint-Jacques-de-Compostelle.

Elle conserve des témoignages artistiques des différents siècles depuis sa construction. De style roman initial, subsistent la Porta do Sol (Porte du soleil), le plan et son déambulatoire, la porte principale et l’absidiole du cloître de Santo Amaro. Les prélats de l’Abbaye de Cluny (France), Saint Gérald et Maurice Bourdin, en sont les architectes. Au XVème siècle, le gothique s’impose dans la construction de la galerie donnant accès au temple.

ARCO DA PORTA NOVA - PROCHE DE
LA CATHEDRALE

À l’intérieur se trouve un tombeau de style gothique-flamand, appartenant au fils du roi D. João I, l’infant D. Afonso. Sous le règne de D. Manuel, au siècle suivant, d’autres éléments décoratifs ont été introduits et notamment les fonts baptismaux et, à l’extérieur de la chapelle principale, une niche abritant la statue de Notre-Dame du Lait attribuée à Nicolas Chantereine, laquelle figure sur le blason de la ville.

Le style baroque est également présent, notamment dans la décoration intérieure des autels, dans les ouvrages en bois sculpté doré, au niveau du grandiose orgue de la chapelle principale et des deux curieux clochers qui ornent la façade extérieure.

Pour compléter la visite, découvrez-le Musée du Trésor de la Cathédrale.


Le jardin de Sainte Barbara – Rua DR. Justino Cruz

Cet endroit est tellement agréable ! En plein centre historique, le jardin de Santa Barbara permet une mini pause de contemplation au milieu de ces vieilles pierres chargées d’histoire. Le Jardin de Santa Bárbara est ainsi nommé en raison de la fontaine du XVIIe siècle qui s'y trouve et qui est surmontée d'une statue de Santa Bárbara, qui appartenait autrefois au Convento dos Remédios.

JARDINS SAINTE BARBARA A BRAGA

LE PALAIS EPISCOPAL ET
LE JARDIN SAINTE BARBARA - BRAGA
Situé dans le centre historique de Braga, c'est un jardin public recommandé par Braga et digne de photographies grâce à ses couleurs vives et ses fleurs bien entretenues. À l'arrière-plan se trouve l'aile médiévale de Paço Épiscopal Bracarense, qui donne au Jardin de Santa Bárbara un personnage d'autrefois et le transforme en un espace encore plus spécial.

Palais Épiscopal Bracarense de Braga
A côté du jardin santa Barbara - Adresse : Praça Mun., 4820-142 Braga

Au début il n’y avait là que le Palais des Archevêques de Braga, et au fil des années, d’autres édifices sont venus se rajouter, créant aujourd’hui un complexe multi-architectural. Il se compose entres autres du jardin de Sainte Barbara et du « largo do Paço ». L'évêché de Bracara a été fondé en 388 par Paternus, qui est devenu le premier évêque de Braga. Officiellement, l'archevêché de Braga a été fondé en 1071, faisant de D. Pedro son premier archevêque. Entre 1096 et 1112, le comte D. Henrique et la comtesse D. Teresa étaient les maîtres de Braga, conduisant en 1112 à une lettre faisant don de la ville aux archevêques, instituant un fief ecclésiastique, qui durerait jusqu'au 18ème siècle. D. Mauricio Burdino est devenu le premier maître ecclésiastique de Braga. Le 27 mai 1128, l'archevêque D. Pai Mendes a reçu une lettre de confirmation pour agrandir les terres de l'église, avec le privilège de frapper des pièces de monnaie, en récompense de son soutien à la révolte de D. Afonso Henriques contre sa mère, la comtesse D. Teresa.

PALACIO DO RAIO - 500 M ENVIRON DE LA CATHEDRALE

En 1327, D. Afonso IV envahit la juridiction de l'archevêque de l'époque D. Gonçalo Pereira, grand-père de D. Nuno Álvares Pereira, nommant des notaires à la couronne de Braga. L'archevêque excommunia et expulsa ces notaires de la ville. Cet antagonisme résultant de ces actes ne diminua jamais et en 1341, lorsque les autorités royales entrèrent dans la nouvelle ville, l'archevêque les excommunia également. En conséquence, le Corrégidor Afonso Domingues a pris le château et la salle municipale, qui ont été beaucoup plus tard rendus à l'archevêque par D. Afonso IV. C'est à la suite de cet antagonisme que la construction du palais archiépiscopal primitif a été commencée, par l'archevêque D. Gonçalo Pereira en 1336.

Château de Braga - Antigo Castelo de Braga/Torre de Menagem.
à coté jardin Santa Barbara. R. do Castelo 19, 4700-328 Braga

LE CHATEAU DE BRAGA -
CE QU'IL EN RESTE, LE DONJON.. ...

Encadré par la place du Château et par la place de la République, ce Donjon est ce qui reste de l’ancien château de Braga. En granit, avec près de trente mètres, il signale l'une des cinq tours qui constituaient les points de vigie dans les murailles médiévales.

Au début du XIVe siècle, Dinis fit réédifier et renforcer les défenses du territoire, son action ayant été signalé ici par un blason d’armoiries que l’on peut encore apercevoir sur la façade nord-est. Cependant, dans le cas de Braga, l’entreprise ne serait achevée qu’en 1373 par le roi Fernando. L’enceinte médiévale était formée de cinq tours et huit portes, parmi lesquelles il existe encore la Tour de Porta Nova, la Porte et la Tour de Santiago et la Tour de Saint Sébastien. L’enceinte du château fut démolie au début du XXe siècle, après avoir été utilisée comme prison.

Loin de sa fonction militaire, le donjon est actuellement utilisé comme galerie d’art.

LE SANCTUAIRE DU - BON JÉSUS DU MONT -
BRAGA - TENÕES

Adresse : Estrada do Bom Jesus, 4715-261 Tenões, Portugal – Au Nord de Sameiro. 1 km

SANCTUAIRE DU BON JESUS A TENOES

SANCTUAIRE DU BON JESUS A TENOES -

Escaliers monumentaux du Bon Jésus
Trois escaliers qui se succèdent rythmés par 17 paliers permettent de relier la ville à l’église, franchissant un dénivelé de 116 m. C’est eux que l’on vient voir, quand on vient au Bon Jésus. C’est ici que les fidèles peuvent « payer » leurs « promesses ». Une promesse, pour un catholique portugais, c’est en quelque sorte un contrat avec Dieu : « mon Dieu, si tu exauces mon souhait, je te promets de monter les escaliers du Bon Jésus à genoux ». On peut promettre n’importe quoi, mais les actes de pénitence sont très populaires. Je ne comprends pas très bien en quoi se faire souffrir dans la chair inciterait Dieu à nous exaucer, mais la Foi ne s’explique pas.

SANCTUAIRE BON JESUS

Le Sanctuaire du bon Jésus du Mont (Santuário do Bom Jesus do Monte) ou Sanctuaire du bon Jésus de Braga est un site religieux et touristique situé dans la paroisse de Tenões, l’une des 62 paroisses de Braga, au Portugal.

LA GROTTE - TENOES


Le parc Bom Jesus est une petite forêt composée de jardins, de lacs artificiels
et de sentiers pour se promener dans la nature. Une journée pour tout visiter
est à envisager.

Le sanctuaire, de style baroque, possède une grande église, un escalier monumental qui compose la Voie Sacrée de Bon Jésus, une forêt (le Parc du Bon Jésus), quelques hôtels et un funiculaire hydraulique centenaire.

Le sanctuaire du Bon Jésus de Braga a inspiré de nombreux bâtiments à travers le monde tels que le Sanctuaire du Bon Jésus de Matosinhos à Congonhas, au Brésil ou le sanctuaire Notre Dame des Remèdes à Lamego, au Portugal, pour ne citer que quelques exemples.


HOTEL DU PARC DE BOM JESUS - A COTE DE L'EGLISE - TENOES -

Hôtel ouvert en 1870 et entièrement rénové, l'Hôtel do Templo c'est un havre de paix, de détente et de bien-être pour tous ceux qui veulent découvrir l'essence du Nord du Portugal et rester dans un enclave inoubliable.

Profitez d'un hôtel à côté du sanctuaire de Bom Jesus do Monte avec centre de bien-être complet, piscine intérieure chauffée, Jacuzzi, bain turc, gymnase, espace de massage et spa. En outre, il dispose de chambres avec connexion Wi-Fi, tv satellite et mini-bar dans la chambre. En définitive, un logement qui assure un confort maximum et le meilleur repos.

La basilique a été conçue par l'architecte Carlos Amarante à la demande de l’archevêque Dom Gaspard de Bragance, pour remplacer une ancienne église, construite sous le règne de Rodrigo de Moura Teles, qui était en ruines. Les travaux ont duré 37 ans, ils ont débuté le 1er juin 1784 et ont été achevés en 1811. La basilique du Bon Jésus est l'un des premiers bâtiments néoclassiques du Portugal. La façade est flanquée de deux tours et se termine par un fronton triangulaire.

La voie Sacrée est constituée d'un escalier majestueux en zigzag présentant un dénivelé de 116 mètres et est divisée en trois parties.


En remontant derrière la basilique, le touriste aura accès aux sentiers et chemins menant au parc Bom Jesus do Monte, où se trouvent le lac artificiel, les grottes et les jardins avec une aire de jeux pour les enfants et des endroits pour pique-niquer.

Dans les environs de la basilique de Bom Jesus do Monte, il y a des hôtels, des restaurants, des snack-bars et des kiosques qui vendent des glaces, de l'eau et des sodas. Le visiteur peut goûter les aliments locaux après les visites.

Du portique, vous commencez le chemin « Via Sacra », qui se compose de 17 chapelles, jusqu'à ce que vous atteigniez la basilique de Bom Jesus do Monte. Au total, il y a 17 chapelles. Chaque chapelle a un nom et raconte chaque événement de la Cène à la Crucifixion de Jésus. Même avec une montée avec de nombreuses marches, cela vaut vraiment la peine de grimper. Les chapelles sont très belles et le chemin à travers la forêt donne une bonne sensation de paix.

DE LA BASILIQUE, VUE SUR LA VALLEE ET BRAGA

La basilique

Histoire de Bom Jesus
Source : Wikiwand.com

La première référence connue au sanctuaire Bom Jesus do Monte à Braga date de 1373 . Au fil des ans, des églises successives ont été construites et des améliorations ont été apportées dans tout le complexe.

Chronologie
14ème siècle
1373 - mentionne, pour la première fois, l'existence d'un ermitage sur le site, dédié à Santa Cruz ;
XVe siècle
1494 - construction d'un deuxième ermitage, par ordre de l' archevêque D. Jorge da Costa ;

Siècle XVI
1522 - le doyen de la cathédrale, D. João da Guarda, ordonna la construction d'un troisième ermitage, devenant un lieu de grande dévotion ;

XVIIe siècle
1629 - reconstruction de la chapelle, dédiée à Bom Jesus, avec une image du Christ crucifié ; constitution de la première confrérie, qui a assuré la préservation et l'agrandissement de l'enceinte, avec la construction de maisons pour abriter les pèlerins et les premières chapelles de Passos da Paixão, sous forme de petites niches, dédiées à la Descente de Croix , Déposition dans le tombeau , Résurrection et Ascension ; nomination du premier ermite, Pedro do Rosário ;

XVIIIe siècle - 1ère moitié.
1722 - L'archevêque D. Rodrigo de Moura Teles se nomme juge de la Confraria et décide d'entreprendre la reconstruction du petit sanctuaire, chargeant probablement Manuel Pinto de Vilalobos de faire le plan général, avec l'agrandissement et la régularisation des rampes, la construction de huit les nouvelles chapelles , dont il ne reste que les deux premières, et l' escalier des 5 Sentidos , avec certaines des sculptures d'António Campos Peixoto et des plinthes du maçon Ambrósio dos Santos ; l'évêque a laissé dans son testament la somme de cinq mille croisés pour l'achèvement des travaux ;
1723 - construction du portique d'ouverture de la route, à côté duquel une fontaine a été construite, l'année suivante, qui est actuellement manquante ;
1725 - le nouveau temple est achevé ;
1729 - aménagement des chapelles de la Via Sacra ; exécution d'un nouveau groupe sculptural pour la Chapelle de Descida da Cruz, par António Monteiro, pour la somme de 52 800 $ ; la première fontaine de l' Escadório dos Sentidos s'appelait Fonte dos Sete Castelos ; faire un reliquaire en argent;
1732 , 23 septembre - rénovation de la chapelle de la Dernière Cène , avec mise en place de bitume ;
1735 , 29 décembre - résolution de réformer le groupe sculptural de la Capela da Coroação , pour entourer la nouvelle image du Christ, offerte par le chanoine Manuel Correia da Silva ;
1737 - exécution du groupe sculptural pour la chapelle funéraire ;
1736 - 1740 - création du groupe sculptural de la Capela da Descida da Cruz, par António Monteiro, au prix de 52 800 $ ; mettre du bitume sur le dôme de la même chapelle, par Jerónimo Gonçalves, pour 5 340 $ ; la maçonnerie de la chapelle d'Asuncion ;
1740 - dans l'inventaire réalisé à cette époque, l'existence de 12 chapelles est mentionnée, dont quatre nouvelles apparaissent au-dessus de l'église ;
1741 - 1742 - exécution de la Chapelle de la Résurrection, en réalisant les figures de la chapelle, peintes par João Coelho, qui a également peint le tombeau et les portes ;
1744 , 21 avril - décision de démanteler la Fonte dos Sete Castelos et de construire la Fonte das Cinco Chagas, par Diogo Soares, pour 19 200 $ ;
1745 - 1750 - paiements successifs à António de Campos Peixoto, pour l'exécution de sculptures en pierre, totalisant 122 000 $ ;
1749 - décision de démolir la chapelle de l'enterrement, pour construire le Pas à un autre endroit ;
1749 - 1751 - exécution des plinthes des figures de l'Escadório dos Sentidos par Ambrósio dos Santos, au prix de 82 960 $ ;

XVIIIe siècle, 2e moitié - construction de l'Escadório das Virtudes, par ordre de l'archevêque D. Gaspar de Bragança ; peinture des toiles qui ornaient les chapelles de la nef, actuellement au Musée, par Pedro Alexandrino de Carvalho ;
1750 - 1752 - exécution d'une chapelle par Dionísio Félix de Gouveia, pour 56 800 $ ;
1750 - 1760 - construction du Terreiro dos Evangelistas ;
1751 - 1752 - construction de murs dans le jardin, par le maçon João Loureiro, pour 1 600 $ ; travaux de jardinage de Domingos Dias Galego, d'une valeur de 960 $ ; la pose du réservoir et la fabrication des tuyaux par Ambrósio dos Santos, qui a reçu 6 600 $ ; paiement à Manuel Vivas pour l'ajout d'une fontaine et des travaux dans la chapelle, pour 6 175 $;
1752 - 1753 - construction de rues au-dessus de la chapelle de la Résurrection et pose de pierre dans la cour, pour 12 120 $ ; construction des côtés des Capelas do Calvário et Senhor da Cana Verde par le maçon João Domingues, pour 3 440 $ ; travaux sur la nouvelle chapelle et le règlement de la fontaine de Cupidon pour 76 235 $; 1755 - 1756 - exécution d'une figure pour le char, par Domingos Ferreira, important à 7 600 $ ; 1756 - 1757 - construction des flèches de la nouvelle chapelle par Manuel Vivas, pour 28$590, les figures étant dessinées par le Père Silvestre Campos ;
1757 - 1758 - António Monteiro exécute les chiffres pour 5 600 $ ;
1758 - 1759 - Le père Silvestre Campos réalise le modèle de l'image du Christ ressuscité, pour 960 $ ;
1759 - 1760 - paiement de l'image d'un pharisien pour la Capela do Calvário, réalisée par Domingos António, pour 4 000 $ ; Le maçon Manuel Vivas a démantelé la chapelle de l'Asunción, emportant la pierre dans la nouvelle cour, avec les images composées par Domingos António et Manuel José Gonçalves ;
1760 - 1761 - Padre Silvestre Faria de Campos fait des modèles pour les deux Maria, pour 720 $ ; António Ferreira et Cristóvão José Farto ont construit la nouvelle chapelle, avec les figures composées par Domingos António et Manuel José Gonçalves et le Christ par António Pinto, pour 12 800 $ ; les images ont été peintes par António José da Rocha et Manuel Pinto et posées par le tailleur de pierre Caetano Lourenço ;
1762 - 1765 - conception des trois chapelles de Terreiro dos Evangelistas , probablement par André Soares ; les chapelles ont été construites par les maçons António Ferreira, Cristóvão José Farto, Caetano Lourenço, Francisco Soares et Manuel Vivas ; construction de quatre fontaines et d'une fontaine centrale, le tout payé par le confrère Manuel Rebelo da Costa, exécuté par Ambrósio dos Santos, José de Sousa, Custódio Luís Soares et Manuel Vivas ; les images pour les chapelles, selon la conception du père Silvestre de Campos, ont été exécutées par António Monteiro et peintes par Matias de Lis de Miranda, José Inácio, João Teixeira et fils, José Galego et José Alves ; construction d'une fontaine dans la rue qui part de la chapelle de Descida da Cruz, par José de Sousa ;
1762 - 1768 - peinture du groupe sculptural pour les chapelles de la Déposition et de la Résurrection, par Matias de Lis de Miranda, d'après les modèles du Père Silvestre de Campos ;
1764 , 27 juillet - décision de démolir la chapelle de l'inhumation et d'utiliser la pierre pour construire la maison de l'aumônier et des pèlerins ;
1765 - exécution d'un nouveau retable principal, où travaillait le sculpteur sur bois João Bernardo da Silva, payé par le père António Ferreira ;
1765 - 1766 - construction de la fontaine à côté de la chapelle Descida da Cruz, par Domingos Fernandes ;
1770 , 21 mai - ajout de l'église et de la sacristie par Francisco Tomás da Mota ; 18 juillet - remplacement du calvaire dans la sacristie ; exécution du tabernacle par le sculpteur Vicente José Correia ;
1770 - 1771 - construction du retable du Saint-Sacrement ;
1771 - la construction de la Chapelle de la Résurrection se termine ;
1773 - offrande de l'image italienne du Crucifié, par D. Gaspar ; 3 slips avec indulgences pour ceux qui visitent le temple ;
1774 , 22 avril - un édit de la Real Mesa Censória impose le remplacement des divinités païennes trouvées dans les fontaines de l' Escadório dos Cinco Sentidos ( Argos , Orpheus , Jacinto , Ganimedes et Midas ) par des figures vigilantes ;
1779 - Filipe Dias incarne et peint les bustes de la Chapelle des Reliquaires ; Mars - fabrication d'un orgue par le frère Filipe Dias ;
1780 , 5 juillet - Carlos Luís Ferreira da Cruz Amarante et le maçon Paulo Vidal visitent le site pour évaluer l'implantation de la future église ;
1781 - ajout du retable principal de João Bernardo da Silva, avec le tableau de Francisco José, pour 51 020 $ ; 22 juin – présentation du projet de l'église et de l'escalier de Virtudes, sous la commande directe de l'archevêque D. Gaspar de Bragança , avec un second projet de João Bernardo da Silva négligé ; 27 juin - début des fouilles ;
1784 , 1er juin - pose de la première pierre de l'église, dont les travaux sont confiés au tailleur de pierre António José Lopes ;
1788 - l'église menaçait la ruine de la voûte, qui fut remplacée par des poutres en bois ; construction d'un patio entre les chapelles de la Dernière Cène et du Christ au Jardin ; réforme des ensembles sculpturaux des Chapelles de la Prison du Christ, Christ au Jardin, Crucifixion, Descente de Croix, Résurrection et Ascension, selon un projet du théologien franciscain Père Manuel de Santa Ana ; ouverture d'un oculus devant la chapelle de la Résurrection et exécution de quelques images d'António Monteiro ; 14 juillet - conformément aux ordres de la Table royale de censure, les sculptures de l' Escadório dos Cinco Sentidos ont été renommées et de nouvelles inscriptions ont été réalisées ;
1789 - l'actuelle Capela das Trevas est dédiée au Couronnement ;

XIXe siècle - 1ére moitié
construction des chapelles Ecce Homo et Caminho do Calvário, ainsi que du patio respectif ;
1802 – début du retable principal, conçu par Carlos Amarante et exécuté par le sculpteur sur bois João Martins Coelho ;
1802 - 1803 - sculpture du retable principal par José Luís Correia, peinte par Manuel António, et réalisation du retable par Manuel José Correia ; exécution des grilles de la chapelle principale par Jerónimo Francisco ;
1803 , 20 août - il est décidé d'ouvrir une arche pour construire la chapelle du Saint-Sacrement ;
1803 - 1805 - exécution des retables latéraux et latéraux par les sculpteurs José Francisco Moreira Torres et José António ; Manuel Joaquim Álvares e Sousa réalise le modèle et exécute les sculptures pour Calvário ; exécution du retable Santíssimo, attribuable au sculpteur Manuel Moreira da Silva;
1804 , 23 juillet - décision de démolir l'église du XVIIIe siècle ;
1804 - 1805 - stuc de la coupole par João Álvares Bezerra ;
1805 - construction du retable du Saint-Sacrement par João Pinto, pour 370 000 $; 1806, juin -
1808 , juin - exécution des statues des évangélistes pour la façade, dessinées par Manuel Joaquim lvares et réalisées par José Domingues ;
1806 – sculptures réalisées en maçonnerie pour la façade de l' église par Manuel Joaquim lvares e Sousa ; Décembre - exécution des retables collatéraux de José Francisco et José António Moreira Torres ;
1807 , 25 mai - 1808, 21 octobre - exécution du dais par José Francisco Moreira Torres ; exécution des sculptures du Calvário, conçues par Manuel Joaquim Álvares de Sousa et réalisées par le sculpteur João Monteiro da Rocha ;
1808 , 8 mars - 4 chandeliers, 3 croix, 1 vase, 1 encensoir, 1 nef, une paire de burettes, 3 paillettes et 1 châsse entrent à la Monnaie ; 8 juillet - vente d'images de l'ancienne église ; Octobre - construction des pilastres du retable principal par José António Moreira Torres, dorés par António Tomás Pinheiro ;
1808 - les retables latéraux sont réalisés par José Francisco Moreira Torres, la sculpture par João António Sousa Azevedo ;
1809 , septembre - peinture du dais et des figures du Calvaire par António José da Rocha ;
1811 / 1812 - les 4 tribunes du chœur sont arrachées et le presbytère est ajouté ;
1812 , mars - travaux de menuiserie sur les cloches, par Jerónimo Francisco, Matias et José António ; Juillet - dorure du retable Santíssimo par António José da Rocha ;
1813 - construction des bancs du chœur par João Coelho, António Pereira, João Ferreira et João António de Sousa Azevedo ;
1814 , 30 juin - fabrication de croix pour le Sanctuaire par António da Silva Vieira Braga ;
1815 - exécution de l'image de Bom Jesus pour la sacristie par Luís António Almeida, pour 19 200 $;
1819 - production de la Fonte do Pelicano par Jerónimo António da Silva, qui propose gratuitement le dessin de la cascade ; exécution des grilles de la nef de José Bernardo Fernandes et du retable des Reliques de João Álvares Bezerra, d'après António Crescêncio Amarante, suivi de João Martins Coelho, avec les cantonnières de José Evangelista Correia ; D. Diogo de Sousa a fait don d'un Christ Marge et Croix en ébène avec le titre de Senhor Jesus dos Viajantes, pour lequel une machine a été réalisée, peinte par Bento José Teixeira;
1820 , février - 30 chandeliers tournés par Sebastião José da Costa, pour 30 400 $ ;

1821 - statue de São Longuinhos offerte par le Dr Luís de Castro do Couto, par Pico de Regaladas, par Pedro José Luís ; incarnation et peinture de bustes reliquaires par Idalécio Lupe da Rocha ;
1822 , 17 août - par charte de D. João VI , le Sanctuaire est placé sous protection royale, commençant à jouir des mêmes prérogatives que les Miséricordia ;
1823 , février - splendeur pour l'image de Bom Jesus, par l'orfèvre Francisco Joaquim da Fonseca, pour 6 830 $;
1824 - début de la construction des Chapelles d'Élévation et de Descente de Croix, celle-ci édifiée avec le bénéfice de la vente d'estampes ; exécution de l'écu du fronton de la façade principale de l' église ;
1825 - peinture du retable des Reliques par António José da Rocha ;
1834 - consécration du temple par l'archevêque D. António José de Freitas;
1835 , 11 mars - il est décidé d'inscrire des légendes sur les socles des images du cimetière ;
1838 - exécution des sculptures de l'escalier des Virtudes , par António José Pereira, à l'exception de l'allégorie à l'Espérança ;
1840 - exécution de la sculpture d' Espérança par João Albertino Azevedo ;
1841 , 14 juillet - décision de construire les chapelles Saint-Pierre et Marie-Madeleine ;
1842 - João Albertino Azevedo a fait les quatre docteurs de l'église du transept;

XIXe siècle, 2e moitié -
Construction de la route d'accès au sanctuaire, selon un projet de l'ingénieur Manuel Couto Guimarães ;
1855 , 15 août - montage de l'orgue par le Révérend José da Costa Neves, provenant du Monastère de Bouro, placé par Manuel Francisco Ferreira et peint par José Joaquim Lopes ;
1857 , août - don de reliques par D. José Joaquim de Azevedo Moura; 10 août - consécration de l'église ;
1861 - reconstruction de la chapelle de la Flagellation, avec l'argent donné par João Joaquim de Carvalho Braga, résident au Brésil ;
1862 - échange des chapelles São Clémente et São Pedro ;
1881 - arrivée de 500 conifères de Mata do Buçaco ;
Ascenseur Bom Jesus au 19ème siècle
1882 , 25 mars - construction du funiculaire ;
1883 - plantation d'arbres ; Mars - peinture et dorure de la chapelle de Santíssimo, par Augusto Ferreira, José da Cunha, Vicente José da Silva, avec de l'or fourni par Joaquim António Pereira ; travail autour de José de Almeida Braga ; 9 juin - baldaquin et dôme du tabernacle par Elias Gomes dos Santos ;
1885 - réforme des accès pour atténuer la montée, qui a entraîné la démolition de 7 chapelles du XVIIIe siècle (Prison du Christ, des Ténèbres, Flagellation, Ecce Homo, Calvário et Crucifixion Way, donnant lieu à de nouvelles chapelles octogonales, selon un projet du lieutenant Augusto Pereira : projet d'un nouveau portique d'accès, qui n'a jamais été réalisé ;
1887 , 30 mars - construction de nouveaux tabourets ; 5 avril - Chaire épiscopale d'Elias Gomes dos Santos, pour 230 000 $ ; 1902, 5 avril - construction de la grotte, avec l'aide de Martins Branco ; 2 octobre - autorisation de construire 2 kiosques à musique ;
1890 - exécution des cantonnières en bois de châtaignier d'Elias Gomes dos Santos, dorées par Cunha et Ferreira

20ième siècle
1902 , septembre - construction de la balustrade du chœur par Manuel Gomes de Oliveira, avec des serpentines en argent par Manuel José Vieira de Macedo, pour un montant total de 120 000 $ ; 1903 - achat de plantes pour la grotte ;
1912 , 17 mars - il est décidé d'étendre la forêt jusqu'à Sameiro et de louer des parcelles pour la construction de maisons privées ;
1916 , 23 octobre - autorisation pour la création d'un musée à la Casa da Mesa ;
1918 - la bibliothèque du sanctuaire est créée par Gaspar Leite de Azevedo, fonctionnaire à la retraite du gouvernement civil de Viana do Castelo, qui est installée dans une annexe à la maison des estampes, où se trouve le musée Confraria;
1919 - Exécution de la splendeur et de la couronne d'argent pour l'Enfant dans la sacristie par Manuel José Vieira de Macedo, pour 7$20 ;
1920 - placement de la grotte à côté de l'église, depuis le palais épiscopal ;
1922 , mars - deux toiles ovales réalisées pour le chœur, par António Alves, pour 150$00 ;
1926 - après des travaux de reconstruction dirigés par l'architecte Raul Lino , la bibliothèque commence à occuper l'espace de la maison des estampes ;
1928 - toile pour la Capela do Santíssimo d'António Alves, qui a également peint le fond de Calvário dans le retable principal, pour 6 025 $00 ; exécution d'un dais par Soares Barbosa et Irmãos ;
1933 - construction de la pierre tombale commémorant le 100e anniversaire de la mort de Pedro José da Silva, par Narciso Teixeira da Silva, pour 365$00;
1948 , 23 décembre - paiement à António Ferreira Lopes pour la construction d' une banque en pierre de Corvia en hommage à Carlos Amarante ;
1949 , 9 avril - achat d'un tableau de Zeferino Couto, pour 500$00.

XXIe siècle
2015 , 4 juillet - L'église est élevée au rang de basilique .
2017, 30 mai - Le sanctuaire est devenu une partie de la liste indicative du Portugal au patrimoine mondial de l'UNESCO (un préalable indispensable à la candidature de biens pour le patrimoine mondial).
2019, 7 juillet - Il est classé au patrimoine mondial de l' UNESCO.

VUE DE DOM JESUS DE MONT SUR LA VALLEE ET BRAGA.

SANCTUAIRE DE BOM JESUS - TENOES

KIOSQUE - SANCTUAIRE DE BOM JESUS - TENOES

SANCTUAIRE BOM JESUS - TENOES
SANCTUAIRE BOM JESUS - TENOES
Statue de Saint Longuinho
La statue de São Longuinho est située dans le sanctuaire de Bom Jesus do Monte, dans la paroisse de Tenões, dans la ville et la municipalité de Braga, un quartier du même nom, au Portugal. Selon la croyance, saint Longuinho était l'un des soldats présents à la crucifixion de Jésus-Christ, qui s'est ensuite converti.

La basilique du sanctuaire Bon Jesus du mont a Tenões

Eglise du Bon Jésus de Braga

Devant l’église se trouve la dernière des cours, « Adro do Bom Jesus », où se trouvent 8 statues, représentant les différents intervenants de la Passion du Christ : les grands prêtres du temple de Jérusalem Anân et Caïphe, Hérode Antipas, Joseph d’Arimathie, Nicodème, Longin et finalement, représenté deux fois, le romain et préfet de Judée Ponce Pilate.

La grande église est de style néoclassique, se mariant parfaitement au style baroque que l’on retrouve sur l’Escalier des Cinq Sens. Son plan est classique, en croix latine. On reconnait bien le style néoclassique sur sa façade, avec son fronton triangulaire et l’utilisation de deux ordres de l’Antiquité : le Toscan sur le niveau inférieur et le Ionique sur le supérieur.


Histoire de Bom Jesus
La première référence connue au sanctuaire Bom Jesus do Monte à Braga remonte à 1373. Au fil des ans, des églises successives ont été construites et des améliorations ont été apportées dans tout le complexe.

Elle est le résultat d’un concours lancé par l’archevêque Gaspar de Bragança, avec pour vainqueur Carlos Luis Ferreira Amarante, qui peut remplacer l’ancienne église déjà en ruines de Rodrigo de Moura Teles. Pour l’anecdote, pour réunir l’argent nécessaire à sa construction, il fallut faire appel à la générosité du peuple : une des nombreuses actions de récolte de fonds fut l’organisation d’une corrida en 1785. Ce n’est qu’en 1857 que l’église sera consacrée.

BATIMENT DU SANCTUAIRE DE TENOES BRAGA

FONTAINE - SANCTUAIRE DE BOM JESUS - TENOES

Les Escaliers Bom Jesus do Monte sont situés dans le Sanctuaire Bom Jesus do Monte , dans la paroisse de Tenões , dans la ville et la municipalité de Braga , district du même nom , au Portugal . Ils relient la partie haute de la ville au Sanctuaire, en franchissant un dénivelé de 116 mètres de hauteur, et suivent un chemin parallèle à l'ascenseur Bom Jesus .
Le long de l'escalier, il y a des chapelles qui représentent la Via Sacra do Bom Jesus, ainsi que des fontaines ornementales, des sculptures allégoriques et des personnages bibliques.

Ils sont divisés en trois grandes sections : l'"Escalier du Portique", l'"Escalier des Cinq Sens" et l'"Escalier des Trois Vertus".


Escaliers Bom Jesus
Les Bom Jesus do Monte Escadórios sont situés dans le sanctuaire Bom Jesus do Monte,
dans la paroisse de Tenões, dans la ville et la municipalité de Braga, un quartier du même nom, au Portugal.

Ils relient la partie haute de la ville au Sanctuaire, franchissant une chute de 116 mètres de hauteur, et suivent un chemin parallèle à l'ascenseur Bom Jesus.


Escalier Portique
Sanctuaire de Bom Jesus : Portique
Le Portico do Bom Jesus est situé au bas de la première volée d'escaliers. Construit en 1723 , il porte les armoiries du responsable de sa construction, alors archevêque de Braga , D. Rodrigo de Moura Teles .

A l'extérieur des piliers, il y a deux inscriptions :" Sancta Jérusalem restaurée et reconstruite en 1723 " et" Par l'illustre M. Don Rodrigo de Moura Telles Archevêque Primat "

Dans cette première section se trouvent les premières chapelles de la Via Crucis : "Cenáculo", "Horto", "Prisão", "Trevas", "Acoutes", "Coroação", "Pretório", "Caminho do Calvário", "Queda " et "Crucifixion".


Escalier des cinq sens
Histoire
L'archevêque D. Rodrigo de Moura Teles était également responsable de cet escalier , qui ne le vit pas achevé, puisqu'il mourut le 4 septembre 1728.

Pour conclure, l'administration de la confrérie a obtenu les ressources d'une manière unique.

La Companhia de Jesus et son collège d' Igreja de São Paulo à Braga étaient en litige avec d'autres collèges de Braga, notamment avec le Convento dos Congregados . Il y eut ensuite à Braga des manifestations d'étudiants d'autres écoles contre les jésuites. Ils ont réussi à arrêter les garçons les plus rebelles et à obliger leurs familles à payer des amendes proportionnelles à leurs revenus. L'argent reçu fut remis à la confrérie pour la réalisation des statues de pierre qui finiraient l'escalier des cinq sens. Les jésuites, inspirés de la mythologie grecque, choisirent les figures que le Bureau de la Confrérie, dans l'Avis du 22 avril 1774, jugea les plus indécentes et les plus indécentes.. En satisfaction de cet édit, les noms et distiques des images ont été modifiés. Argos a été rebaptisé Vir Prudens ; Orphée , Editum ; Jacinthe , Vir Sapiens ; Ganymède , Joseph et Midas , Salomon .

Escalier des Trois Vertus
Il date de 1837 et possède trois sources consacrées aux vertus théologales : Foi , Espérance et Charité .

Source de la foi
La Fontaine de la Foi comporte une simple croix avec trois gouttes dans les ouvertures des ongles et l'inscription : Ejus fluent aquae vivae. Jeanne. 7, 38. - «Des eaux vives couleront de lui».

La statue centrale représente Faith, la figure d'une femme aux yeux bandés, tenant un calice avec une hostie dans sa main gauche et la droite pointant vers son oreille. Le sous-titre suivant : La foi. Fides... Argumentum nom apparentium... Ex auditu : Auditus Autem per verbum Christi. Annonce Hébr. 11, 1, Rom. 10, 17. - "La foi... l'argument des choses invisibles... la foi est par l'oreille : et l'oreille par la parole de Christ".

A gauche, la statue de la docilité. C'est une femme avec son bras gauche levé, serrant un serpent dans sa main. Sur le bras droit un bouclier à tête d'éléphant, surmonté d'un sablier couronné d'un serpent entre deux miroirs. L'inscription dit : Docilité. Corde enim creditur ad justitian. Ad Rom. 10, 10. - «Avec le cœur on croit pour atteindre la justice».

A droite, la statue de la confession, tenant les Tables de la Loi dans la main gauche et la droite désignant les commandements. L'inscription dit : Confession. Priez auten confessio fit ad saluten. Ad Rom. 10, 10. - "Mais c'est par la bouche qu'on se confesse pour obtenir le salut.

TENOES - SANCTUAIRE DU BOM JESUS - LE GRAND ESCALIER


Statue de Saint Longuinho
La statue de São Longuinho est située dans le sanctuaire de Bom Jesus do Monte, dans la paroisse de Tenões, dans la ville et la municipalité de Braga, un quartier du même nom, au Portugal. Selon la croyance, saint Longuinho était l'un des soldats présents à la crucifixion de Jésus-Christ, qui s'est ensuite converti.
La légende de São Longuinho de Braga

Il existe une curieuse tradition à Braga, pour la fête de São João , impliquant la statue de São Longuinho et le sanctuaire de Bom Jesus do Monte. A cette époque, des filles coquettes se promènent autour de la statue de granit, en prononçant des prières, afin d'accélérer leur mariage .

Selon une ancienne légende locale, un fermier très riche nommé Longuinhos vivait à la périphérie de la ville, près de Bom Jesus. Célibataire et réservé, il était apprécié de tous dans la communauté. Les filles célibataires ne lui étaient pas indifférentes, car elles le considéraient comme une excellente prise, même si aucune ne l'impressionnait particulièrement.

Un jour, Longuinhos est tombé amoureux d'une fille nommée Rosinha et a compris qu'il était temps de partager sa fortune. À cette fin, il a été informé de l'identité de son père et l'a recherché. Il s'est identifié et lui a fait part de ses intentions, lui demandant sa main en mariage. Son père, cependant, s'est avéré être un négociateur difficile et n'a cédé que lorsque Longuinhos lui a promis une pension.

Pedro, c'était le nom du père de Rosinha, l'appela et lui dit que Longuinhos avait demandé sa main en mariage et que lui, en tant que père, la lui avait donnée. La fille était livide, car elle aimait un autre garçon, nommé Arthur, et devant l'autel de Bom Jesus, elle lui avait promis le mariage. Le vieux père, craignant de perdre le marché qu'il avait passé, fit tant d'histoires que la fille terrifiée finit par lui dire qu'elle épousait Longuinhos. Elle partit tremblante du pied de son père et se retira dans sa chambre, où, pleurant, elle se mit à prier, invoquant saint Jean. Soudain, elle entendit une voix en elle qui lui dit de se calmer, de laisser tout s'arranger.

La voix était celle de saint Jean, qui de là se rendit à Longuinhos, lui aussi en méditation. S'adressant au fermier, São João a fait valoir que si Longuinhos était un de ses amis, il ne pourrait pas gâcher le bonheur des deux jeunes hommes qui s'aimaient tant. Longuinhos a également remarqué la façon désastreuse de parler au père de Rosinha, le tentant avec de l'argent.

Longuinhos reprit alors ses esprits et comprit que si la jeune fille en aimait une autre, et qu'elle était réciproque, il n'avait pas le droit de détruire leur bonheur. Alors il dit au saint, qui était très heureux, et ajouta :" - Si vous me le permettez, Saint Jean, je serai moi-même le parrain de ce mariage ! Je sais que vous avez besoin d'un bon départ dans la vie et je m'en occupe. Quant à mon amour, je vous divertirai ici jusqu'à ce qu'il s'estompe loin ! "

Le saint courut alors prévenir la jeune fille, afin qu'elle puisse préparer le mariage avec Arthur, car il lui avait trouvé un bon parrain. Le vieux Pedro était le seul à perdre, mais il se consolait comme il pouvait.

Source : WIKIWAND.COM

Le sanctuaire de Bom Jésus de Tenões


LE SANCTUAIRE DE SAMEIRO
 
ADRESSE : Av. Nossa Sra. do Sameiro 44, Sameiro - 4715-616 Braga -

LE SANCTUAIRE NOTRE DAME DE SAMEIRO

À moins de 3 kms du Bom Jésus, proche de Braga, Sud Est -vous trouverez un autre sanctuaire, celui de Notre Dame de Sameiro. Souvent délaissé au profit de son voisin, il est l’un des plus grands lieux de culte dédié à la Vierge Marie au Portugal.
SUR LE MËME PRINCIPE QUE TENOES, UN GRAND ESCALIER
DESCEND EN BAS DE LA COLLINE

Fondée en 1863 par le prêtre Martinho António Pereira Da Silva, il est l’un des lieux de pèlerinage le plus important au Portugal. La basilique, est décorée de marbre blanc. Elle a été Bâtie en haut de la colline, à 613 m d’altitude. Un large et long escalier (265 marches !), décoré de mosaïques, mène à la basilique. En bas de cet escalier se trouve la statue du pape Jean Paul II et en haut vous trouverez deux hauts piliers avec des statues de la Vierge Marie et de Jésus. La basilique est entourée d’une grande esplanade où des statues, des arbres et des jardins forment une harmonie toute en douceur qui invite à la promenade et à la réflexion. Pour les moins courageux, outre par le grand escalier, vous pouvez accéder à la basilique en voiture.

Monuments des docteurs mariaux

4 monuments des Docteurs Mariano situés à l'entrée du sanctuaire, ces Docteurs étaient les docteurs qui exaltaient les Gloires de Marie.

Saint Cyrille d'Alexandrie : « grand docteur marial ; intrépide défenseur, contre la nidification de la maternité divine de Notre-Dame.

S. António de Lisboa : « éminent docteur marial ; sa langue d'or exaltait avec éclat la grandeur de la Sainte Vierge"

S. Bernardo de Claraval : « Un médecin malveillant, chanteur inspiré des excellences de Marie et promoteur impuissant de son culte »

Saint Alphonse Maria de Ligório : « Docteur des gloires de Marie, champion de l'Immaculée Conception et de la médiation universelle de Marie »




Le Sanctuaire de Notre-Dame de Sameiro (ou Sanctuaire de Sameiro , également appelé Sanctuaire de l'Immaculée Conception de Monte do Sameiro ) est un sanctuaire marial situé à Braga , au nord du Portugal .

L' histoire de ce sanctuaire débute le 14 juin 1863 . Le fondateur de ce sanctuaire était le vicaire de Braga, le père Martinho António Pereira da Silva , originaire de Semelhe , qui en 1869 fit placer une image de Nossa Senhora da Conceição au sommet de la montagne. Ce sanctuaire est l'un des centres de la plus grande dévotion mariale au Portugal, juste après le Sanctuaire de Notre-Dame de Fátima , à Cova da Iria , et le Sanctuaire de la Mère Souveraine , à Loulé .

Dans ce temple, achevé au XXe siècle , se détache à l'intérieur le maître-autel en granit blanc poli, ainsi que le tabernacle d' argent. Devant, il y a un imposant et vaste escalier, au sommet duquel s'élèvent deux hauts piliers, surmontés de l'image de la Vierge Marie et du Sacré-Cœur de Jésus . - WIKIPEDIA


Chronologie 
Le 14 juin 1863, la première pierre a été posée pour un monument en l'honneur de l'Immaculée Conception de Marie sur le mont Sameiro, actuellement le monument se trouve à Santa Marta das Cortiças (Espoões).


Le 29 août 1869, le monument a été béni et inauguré, avec une image d'Emídio Carlos Amatucci.
Le 31 août 1873 commence la construction d'une chapelle commémorative du Concile Vatican I et du dogme de l'infaillibilité pontificale.
Le 8 août 1877, les statuts de la Confrérie de l'Immaculée Conception de Monte Sameiro sont créés.
Le 7 août 1878 , l'image de Nossa Senhora do Sameiro , œuvre du sculpteur italien Eugénio Maccagnani (1852-1930) arrive à Braga .
Le 29 août 1880, l'image fut solennellement portée à Sameiro et intronisée dans la chapelle, qui avait été consacrée la veille.
Le 9 janvier 1883, le monument est détruit pour une cause inconnue – un coup de foudre, selon les uns, un orage conjugué à une mauvaise construction, selon d'autres, une explosion criminelle, selon d'autres.


Le 28 juillet 1884, la construction d'un nouveau monument commence.
Le 9 mai 1886, le nouveau monument est inauguré.
Le 31 août 1890, la première pierre du Sanctuaire actuel est posée.
Le 12 juin 1904, l'image de la Vierge est couronnée par le Nonce Apostolique, Monseigneur José Mach, délégué spécial du Pape Pie X.
Le 12 juillet 1936 , la construction de la coupole débute .
1940, arrivent 2 colonnes, de 6 tonnes chacune, de marbre d'Estremoz , destinées à l'autel de Senhora do Sameiro.
Le 12 juin 1941 , c'était la consécration de l' autel du Sanctuaire.
Le 7 juin 1953, la croix monumentale, conçue par l'architecte David Moreira da Silva, est inaugurée .
Le 13 juin 1954, les monuments au Sacré-Cœur de Jésus, et au Pape Pie IX (ce dernier sculpté par Raul Xavier ) sont inaugurés .
Entre 1959 et 1960, furent inaugurées les statues de Raul Xavier qui composent le Portique des docteurs mariaux : Cirilo d'Alexandrie (30 août 1959), Bernardo de Claraval (29 mai 1960), António de Lisboa (8 décembre 1959) et Afonso Maria de Ligório (24 août 1960).
Le 17 juin 1979 la Crypte est inaugurée , sous le temple initial.
Le 15 mai 1982 , il reçoit la visite du pape Jean-Paul II .
Le 3 juin 1984 , la statue du pape Jean-Paul II est inaugurée .


Dans 8 Décembre de 2004 , en commémoration du 150e anniversaire de la proclamation du dogme de l' Immaculée Conception , le pape Jean - Paul II par un délégué du Vatican, Eugenio Sales , Sameiro Sanctuary avec distingue le Golden Rose .
En 2006 , Óscar Casares a conçu le panneau "Salve Regina" pour l'autel principal de la crypte du sanctuaire. Le 14 juin 1863, la première pierre a été posée pour un monument en l'honneur de l'Immaculée Conception de Marie sur le mont Sameiro, actuellement le monument se trouve à Santa Marta das Cortiças (Espoões).

SAMEIRO - Sanctuaire de l'Immaculée Conception de Monte do Sameiro


LE SANCTUAIRE DE SAMEIRO - 

Tous les ans, entre le 1er dimanche de juin et le dernier dimanche d’août, une foule de pèlerins se pressent à Sameiro pour rendre hommage à la Vierge Marie.

En 1982, le Pape Jean-Paul II en personne vient en visite au Sanctuaire de Sameiro. Pour commémorer ce moment, une statue du célèbre homme d’église est installée au pied de l’escalier du sanctuaire.

SANCTUAIRE DE SAMEIRO - DETAILS


Si le Sanctuaire de Sameiro vaut le détour, c’est plus pour le panorama exceptionnel qu’il offre sur la région de Braga que pour son architecture.

De style néo-classique, le sanctuaire n’a rien d’exceptionnel si ce n’est son impressionnant tabernacle en argent, ainsi que la statue de la Vierge Marie réalisée à Rome dans la 2ème moitié du 19ème siècle par le sculpteur Eugénio Maccagnani.

Perché à 556 mètres d’altitude, le Sanctuaire de Sameiro jouit d’une vue imprenable sur la vallée du Minho. Dans la basilique, un escalier mène au sommet de la coupole d’où le panorama est tout particulièrement splendide. Mais la vue se mérite : il vous faudra d’abord gravir 265 marches pour pouvoir en profiter !

SANCTUAIRE DE SAMEIRO


Horaires du Sanctuaire de Sameiro : en hiver, du lundi au samedi de 7h30 à 17h30 et le dimanche de 6h30 à 17h30 / en été, du lundi au samedi de 7h30 à 19h et le
dimanche de 6h30 à 19h.

Tarifs du Sanctuaire de Sameiro : la visite est gratuite mais il vous faudra payer 2 € pour accéder au sommet de la coupole.

SAMEIRO - Sanctuaire de l'Immaculée Conception de Monte do Sameiro

SUR L'ESPLANADE DU SANCTUAIRE DE SAMEIRO


SANCTUAIRE DE SAMEIRO - LE CENTRE JEAN PAUL II



RESTAURANT SAMEIRO MAIAS -
RESTAURANT DE LUXE, PRIX ELEVES ET SOUVENT NON JUSTIFIES !

FONTAINE - SANCTUAIRE DE SAMEIRO

SANCTUAIRE DE SAMEIRO - CHAPELLE DE LA VIERGE MARIE

DEUX MONUMENTS GARDENT L'ESCALIER POUR DESCENDRE DU
SANCTUAIRE DE SAMEIRO

UNE VASTE ESPLANADE VOUS DIRIGE VERS L'ESCALIER POUR DESCENDRE A PIED DU SANCTUAIRE DE SAMEIRO

BRAGA VUE DU SANCTUAIRE DE SAMEIRO

UNE VUE EXCEPTIONNEL SUR BRAGA A PARTIR DU SANCTUAIRE DE SAMEIRO

MONUMENT - SANCTUAIRE DE SAMEIRO
LE GRAND ESCALIER POUR RELIER A PIED LE SACTUAIRE DE
SAMEIRO - DANS LE FOND BRAGA.

SCULPTURE SANCTUAIRE DE SAMEIRO


Notre-Dame de Sameiro

La sculpture , sculptée à Rome et bénie par le pape Pie IX , porte une belle et précieuse couronne de 2,5 kg en or massif et diamants, offerte en 1904 par les femmes du

Portugal , dont la reine D. Amélia d'Orléans .Notre-Dame de Sameiro est représentée par une image de la Vierge Marie qui se trouve sur le maître - autel du sanctuaire de Sameiro, au Portugal .

Braga fut la première ville portugaise à consacrer un monument qui témoigna de la joie du peuple de Dieu sur les terres de Santa Maria, lorsque le dogme de l'Immaculée Conception
 fut proclamée 8 décembre

1854 . D. Jorge Ortiga, archevêque de Braga, a souligné le rôle de Notre-Dame dans ce lieu en l'identifiant dans sa lettre pastorale Et Dieu a choisi Marie pour être Mère de Dieu comme une présence qui interpelle et invite « diverses initiatives conduisant toujours à une rencontre avec Christ, dans la Parole et dans l'Eucharistie. La commémoration liturgique de Nossa Senhora do Sameiro est célébrée le 12 juin, selon le Proprium de Braga.

Le grand pèlerinage annuel de l'archidiocèse de Braga a lieu le premier dimanche de juin, au départ de la cathédrale . Le troisième dimanche d'août a lieu le pèlerinage statutaire, qui commence au sanctuaire voisin de Bom Jesus do Monte .

La maison des Sœurs dominicaines de Santa Catarina de Sienne (1934), le Séminaire missionnaire carmélite (1967), le Monastère Santa Cruz des Pères Croisiers (1979) et le siège de la société de vie apostolique Hérauts de l'Évangile .

Capela do Santíssimo Sacramento
Sur l'esplanade du Sanctuaire de Sameiro.

L'ESPLANADE DU SANCTUAIRE DE SAMEIRO


Le 8 décembre 2004, le pape Jean-Paul II a accordé au sanctuaire de SAMEIRO la Rose d'or, distinction attribuée par les pontifes à des personnalités, sanctuaires, églises ou villes en reconnaissance de services pertinents rendus à l'Église ou pour le bien de la société.


LA CITANIA DE BRITEIROS

Adresse : Monte de São Romão - 4800 Guimarães - 15 kms de Guimarães - OUVERT 9 H 00 - 17 H 00 HIVER - 9 H 00 - 18 H 00 ETE

LE SITE ARCHEOLOGIQUE DE LA CITANIA
DE BRITEIROS

La citânia de Briteiros est un site archéologique de l'âge du fer, situé au sommet du mont São Romão, dans la freguesia de São Salvador de Briteiros, territoire de la ville de Guimarães au Portugal. (Environ 15 km de distance, le Nord-ouest de cette ville). Considérée comme une fortification de la culture des castros du nord-ouest de la Péninsule Ibérique. Les ruines ont été des découvertes par l'archéologue Martins Sarmento en 1875.

CITANIA DE BRITEIROS

CITANIA DE BRITEIROS
L'influence de la romanisation est manifeste dès le 1er siècle av. J.-C. sur de nombreux vestiges, les inscriptions latines, monnaies de l'empire romain, fragments de céramique importée (monde de la céramique sigillée), verrerie, etc. La culture des castros se révèle par la disposition topographique du peuplement, dans le plan des murs, dans la forme circulaire des maisons, dans le processus de construction et dans le décor avec les motifs géométriques.

CITANIA DE BRITEIROS - reconstitution de l'habitat

CITANIA DE BRITEIROS

CITANIA DE BRITEIROS

La Citânia de Briteiros bénéficie de la protection du monument national portugais, le classement date de 1910

Le site présente une vue magnifique sur la vallée du fleuve Ave, la Citânia de Briteiros, surprendra le visiteur, que ce soit pour sa beauté scénique, ou pour les vestiges laissés par nos ancêtres de la protohistoire. Dans ce lieu les prémices de traces d’organisation d’une “ville” sont nettement visibles, dans les rues protégées par un ensemble de murailles, à l’intérieur desquelles s’abritaient les habitations suivant des plans circulaires ou rectangulaires disposées parfois en petits "pâtés de maisons", qui comprenaient des gîtes pour le troupeau. L’un des monuments les plus significatifs existant à la Citânia fut découvert en 1930, quand on procéda à l’ouverture de la route qui conduit au mont. Il s’agit d’un four crématoire dont la façade de la fournaise est constituée d’une stèle pentagonale qui montre l’incision de deux svastikas aux branches recourbées, avec une ouverture en hémicycle destinée au passage du corps.

CITANIA DE BRITEIROS - VASTE CITE

On doit les premières études scientifiques du lieu au Dr. Francisco Martins Sarmento qui, à partir de 1875, recueillit de nombreux vestiges importants et les confia au Musée Société Martins Sarmento à Guimarães.


GUIMARÃES
LE CHÂTEAU MÉDIÉVAL - LA CITE ROYALE


LE CHATEAU MEDIEVAL DE GUIMARES.
Guimarães est considérée comme le berceau du Portugal, car elle a vu naître Alphonse Henriques qui deviendra le premier roi de ce pays.

Associé à la formation et à l'identité du Portugal, le centre historique de Guimarães situé dans l'enceinte des murailles a été classé patrimoine mondial par l'Unesco, sur la base des valeurs d'originalité et d'authenticité qui ont guidé sa rénovation. La ville possède encore aujourd'hui tout un patrimoine harmonieux et préservé, qui s'exprime par le biais de jolis balcons en fer forgé, des vérandas et des auvents en granit, des demeures patriciennes, des arcs qui relient des ruelles, des pavages lissés par le temps, ainsi que des tours et des cloîtres. Pour quelques instants, vous pouvez vous croire dans un décor médiéval, où la noblesse construisit peu à peu ses villas comme la maison Mota Prego, le Palais de Vila Flor, de Toural et bien d'autres, qui confèrent à Guimarães une atmosphère unique.

GUIMARES - LE CHATEAU

Vous pouvez commencer par le cœur de la ville basse, la place Largo da Oliveira, où se dresse le mémorial Padrão do Salado et l'église et Collégiale Nossa Senhora da Oliveira, qui abrite le précieux musée Alberto Sampaio.

LE CHATEAU DE GUIMARES

Après les palais municipaux, couronnés de créneaux, vous arrivez sur la Praça de Santiago qui accueillait, au Moyen Âge, les pèlerins de la route de Saint-Jacques-de-Compostelle, tout comme elle le fait aujourd'hui avec ses habitants et les touristes dans ses restaurants et sur ses terrasses de café. Dans la rue de Santa Maria, qui fait la liaison avec la partie haute de la ville, se trouvent le couvent de Santa Clara, la Casa do Arco et d’autres maisons nobles.

Le château de Guimarães

Prenez donc cette rue, ou l'avenue Alberto Sampaio, bordée de vestiges de l'ancienne muraille qui continue dans la partie haute de la ville, entre le palais des Ducs de Bragance (Paço dos Duques de Bragança) et le château. Avant d'arriver dans les hauteurs du château, vous passerez d'abord par ce palais, monument du XVe siècle où est visible l'influence de l'architecture seigneuriale française, puis par le monument d'Alphonse Henriques, la chapelle romane de São Miguel et, finalement, par le propre Château qui remonte au Xe siècle et qui est intimement lié à la fondation du Portugal.

Le château médiéval de GUIMARES

Mais il vous faut encore découvrir un autre point central de Guimarães ; par conséquent, descendez jusqu'à la place Largo do Toural, avec sa fontaine du XVIe siècle. La rue D. João I qui, au Moyen Âge, était la voie d'accès à Porto, est bordée de maisons anciennes dotées de balustrades en bois et aux façades datant du XVIIe siècle. En contournant l'église du couvent de São Domingos, vous voilà dans rue de Paio Galvão, où se trouve le musée archéologique Martins Sarmento, bâtiment de style néo-roman, installé dans le cloître du couvent. Un peu plus loin se trouve le bâtiment de l'ancien marché municipal, qui abrite aujourd'hui la plateforme des Arts et le centre international des Arts José de Guimarães, avec une rétrospective de l'œuvre de cet artiste renommé, né dans cette ville.

Le château médiéval de GUIMARES

En vous éloignant un peu plus du centre, cela vaut la peine de visiter le palais et centre culturel Vila Flor et ses jardins suspendus, ornés de fresques et de décorations rocaille. À noter aussi l'église baroque de Nossa Senhora da Conceição e dos Santos Passos, au bout de la place Largo da República do Brasil.

Pour avoir une autre perspective de la ville, vous pouvez prendre le téléphérique jusqu'au Mont de la Penha pour y admirer l'un des plus beaux panoramas du nord du Portugal, où se trouve le sanctuaire de Nossa Senhora da Penha qui accueille beaucoup de visiteurs. La chapelle fut construite en 1652 et servit, postérieurement, le Couvent de l’Immaculée Conception, duquel elle est annexe.

Dans la chapelle, on remarquera tout particulièrement les azulejos pariétaux, de Policarpo de Oliveira Bernardes, et la chaire.

La pérégrination annuelle se réalise le 2ème dimanche de septembre.

GUIMARÃES LE CHATEAU
ADRESSE : R. Conde Dom Henrique, Guimarães
Le château médiéval de GUIMARES

Le Château de Guimarães, situé sur une hauteur (Monte Largo ou alpis latitus en latin dans les documents de l’époque) rappelle ce moment particulier entre légende et héroïsme véritable, qui marqua le début de l’histoire du Portugal.

Mumadona, comtesse galicienne, y fit construire vers 968 un château afin de permettre à la population de s’y réfugier lors des incessantes incursions des hordes de Vikings, venus des mers du nord de l’Europe, et des Maures, venus des territoires qu’ils occupaient plus au sud.

Lorsque le Comte Henri de Bourgogne reçut de son beau-père, Alphonse VI de Léon et Castille, le gouvernement du comté de Portucale, il fit ériger une autre fortification qui constitua le premier élément de l’important système défensif que l’on peut voir aujourd’hui, dominé par le donjon. Le bâtiment adossé à l’intérieur du pan nord de la muraille fut probablement le lieu d’habitation du Comte Henri, où naquit également son fils, Dom Afonso Henriques, premier roi du Portugal.

GUIMARES LE CHATEAU MEDIEVAL

Le château est lié à l’histoire militaire de la fondation du royaume et aux batailles que Dom Afonso Henriques livra en 1127 à son cousin, Alphonse VII, roi de Léon et Castille. Il évoque également l’abnégation de son valet, Egas Moniz, qui s’offrit en gage de la parole d’Afonso Henriques qui, voyant qu’il ne parviendrait pas à vaincre le siège d’Alphonse VII, promit de devenir son vassal, mais renia sa promesse lorsqu’il gagna la bataille.


Jusqu’à la fin du 14ème siècle, le château de Guimarães fut le théâtre de luttes héroïques pour la défense du royaume d’un Portugal naissant et ébranlé par des questions dynastiques avec la Castille, qui mettaient en péril son indépendance. Puis, avec l’apparition des nouvelles armes d’artillerie, le château de Guimarães, comme tant d’autres, vit sa gloire décliner. Abandonné à l’incurie du temps et des hommes, il fut soigneusement restauré et retrouva sa grandeur et son éclat originels dans la première moitié du 20ème siècle.

Convento de Santo António dos Capuchos Couvent de Santo António dos Capuchos. Heures 10h00 - 17h00 Entrée adulte: 2 € Ouvert tous les jours 

La Route muséologique du couvent de Santo António dos Capuchos a été créée par Santa Casa da Misericórdia de Guimarães en 2008, en raison du souci de conservation et de mise en valeur de son patrimoine artistique et culturel. Situé au cœur de la colline sacrée, il occupe un espace dans le bâtiment construit comme un couvent au XIXe siècle. XVII, et acheté par Misericórdia en 1842 pour y installer son hôpital. Certains des actifs mobiles de l'institution sont exposés, tandis que les visiteurs sont invités à parcourir les couloirs, les cours et le cloître de l'imposant bâtiment, ainsi qu'à visiter l'église du couvent et sa magnifique sacristie du XVIIe siècle. XVIII.

Couvent de Santo António dos Capuchos

Couvent de Santo António dos Capuchos
Couvent de Santo António dos Capuchos

Couvent de Santo António dos Capuchos - Détails d'une statue sur le mur de façade

Eglise de São Miguel do castelo - 
Construction du début du XIIe siècle, probablement du comte D. Henrique, de style roman, de petites dimensions et d'une grande simplicité architecturale. Il a un grand symbolisme en raison de son lien historique avec la fondation de la nationalité et la tradition d'y avoir baptisé D. Afonso Henriques.

A l'intérieur, le trottoir est pavé de tombes attribuées à de nobles guerriers liés à la fondation de la nationalité. Il est classé monument national.

Eglise de São Miguel do castelo

Paço dos Duques de Bragança
Paço dos Duques de Bragança

Paço dos Duques de Bragança

Paço dos Duques de Bragança - Palais des ducs de Bragance

Le Paço dos Duques de Bragança (généralement connu sous le nom de Paço dos Duques ) a été construit au 15ème siècle par D. Afonso, (fils illégitime du roi D. João I et D. Inês Pires Esteves), 1er duc de Casa de Bragança et 8ème Comte de Barcelos, au moment de son second mariage avec D. Constança de Noronha (fille de D. Afonso, comte de Gijón et Noronha et D. Isabel, Senhora de Viseu). Habité principalement au XVe siècle, il y a eu au cours des siècles suivants un abandon progressif et une ruine conséquente, motivée par plusieurs facteurs, qui s'est aggravée jusqu'au XXe siècle.

En 1807, lors des invasions françaises, il est transformé en caserne militaire, fonction qui restera jusqu'en 1935.

Entre 1937 et 1959, une vaste et complexe intervention de reconstruction a été réalisée sur la base d'un projet sous la responsabilité de l'architecte Rogério de Azevedo.

Paço dos Duques est actuellement un service de la Direction Régionale de la Culture du Nord et intègre le Musée (1er étage), une aile pour la Présidence de la République (façade principale, 2ème étage) et un vaste espace dédié à diverses initiatives culturelles ( au rez-de-chaussée)


Il a été construit au XVe siècle à l' initiative d' Afonso Ier de Bragance . Le style bourguignon de ce palais reflète ses goûts, acquis lors de voyages à travers l' Europe , bien que son aspect actuel ait été recréé, de manière controversée, lors de l' Estado Novo .

Pendant une partie du XVIe siècle, le palais était encore utilisé comme résidence pour les ducs de Bragance, puis, progressivement, est entré dans une phase d'abandon et de ruine conséquente. Au 19ème siècle, il a été adapté à la Caserne Militaire.

Le 25 juin 1959 , il est transformé en résidence officielle du président de la République dans le nord du Portugal, et le 26 août de la même année, il est ouvert au public en tant que musée.

Dans le musée , se détachent des tapisseries (flamandes et françaises), des tapis orientaux, des meubles, des porcelaines chinoises, des peintures , comme l' Agneau de Pâques, attribué à Josefa de Bidos ou le portrait de D. Catarina de Bragança .

Alphonse Ier (roi de Portugal) 1139 - Coimbra 1185

Le fils de Henri de Bourgogne et de Thérèse de León est tout d'abord comte du Portugal de 1112 à 1139. Il conquiert de haute lutte l'indépendance de son comté contre le royaume de Castille et León. Il est le père de sept enfants dont Sanche Ier qui lui succède sur le trône. Alphonse Ier, aussi connu en portugais Afonso Henriques (Alphonse fils de Henri), surnommé le « Conquérant », le « Fondateur » ou le « Grand » (né en 1109, traditionnellement le 25 juillet à Guimarães, ou à Viseu, mort le 6 décembre 1185 à Coimbra) est comte puis premier roi de Portugal de 1139 à sa mort.

Contexte
À la fin du XIe siècle, la politique ibérique était dominée par la Reconquista : l'expulsion de l'État maure, successeur du califat de Cordoue, de toute la péninsule ibérique. L'aristocratie militaire étant insuffisante, Alphonse VI de Castille marié à Constance de Bourgogne, fit appel à des membres de la famille de son épouse pour lutter contre les Maures. En échange, Alphonse VI donna la main de ses filles aux chefs de l'expédition et de grands privilèges royaux aux autres.

Ainsi l'éritière Urraque de Castille se maria avec Raymond de Bourgogne, second fils du comte de Bourgogne. La demi-sœur d'Urraque, la princesse Thérèse de León, fille illégitime d'Alphonse VI, épousa Henri de Bourgogne, l'oncle de Raymond. Par cette alliance, Henri devient comte de Portugal. De ce mariage est né Alphonse Henriques.

Biographie
Comte de Portugal
Le père d'Alphonse Henriques, Henri de Bourgogne, meurt lorsqu'Alphonse Henriques a trois ans. Il hérite du comté de Portugal par sa mère, Thérèse de León, fille de Alphonse VI de Castille, mais pas du duché de Bourgogne que son père, second dans la succession, n'avait pas obtenu.

Elevé à Guimarães, Alphonse Henriques est armé chevalier en 1122. Il s'oppose politiquement, sous la direction de l'archevêque de Braga, à sa mère qui appuyait le parti des Travas, une famille de la noblesse de Galice dont un des membres était l'amant de Thérèse de León. L'archevêque, forcé d'émigrer emmena l'enfant avec lui. Après la paix, il revient au comté de Portugal.

Entre-temps, de nouveaux incidents provoquent l'invasion du comté par le roi Alphonse VII de Castille qui, en 1127, encercle Guimarães où se trouve Alphonse Henriques, afin de faire valoir ses droits sur le comté de Portugal, vassal du royaume de Castille. Comme Alphonse Henriques lui a promis fidélité, Alphonse VII de Castille renonce à conquérir la cité. Mais quelques mois plus tard, en 1128, les troupes menées par la comtesse régente Thérèse de León rencontrent celles de son fils Alphonse, et c'est ce dernier qui l'emporte à la bataille de São Mamede et ainsi consacre son autorité sur le territoire portugais en prenant le gouvernement du comté. Alphonse devient le seul gouverneur, de facto, du comté de Portugal.

ALPHONE 1ER - ROI DU PORTUGAL

Roi de Portugal
L'année suivante, il réaffirme ses prétentions sur la partie méridionale de la Galice. Cette violation du traité de Tui provoque une réaction vigoureuse d'Alphonse VII de Castille. Les deux armées se rencontrent à Arcos de Valdevez. Le sort des armes est décidé lors d'un tournoi gagné par les chevaliers portugais. Le comte concentre alors ses efforts pour obtenir du Saint-Siège l'autonomie totale de l'Église de Portugal et la reconnaissance de l'indépendance envers le roi de Castille. En 1139, après une victoire éclatante lors de la bataille d'Ourique contre les Maures, Alphonse Henriques est acclamé premier roi de Portugal par ses troupes. Les premiers documents où Alphonse s'intitule roi datent, précisément, de 1139–1140. Avant son titre était princeps (prince).

RECONSTITUTION SUR AZULEJOS DE LA BATAILLE D'OURIQUE

Selon la tradition, l'indépendance est confirmée plus tard, aux Cortes de Lamego quand le roi reçoit des mains de l'archevêque de Braga la couronne d'or et de pierreries de Portugal comme successeur des rois wisigoths. La reconnaissance de l'indépendance par le souverain Castillo-léonais vient en 1143 avec le traité de Zamora. Elle serait due à l'ambition d'Alphonse VII de devenir empereur sur toute la péninsule Ibérique, et donc à la nécessité de disposer de rois comme vassaux en León et au Portugal.

Dès lors, Alphonse Ier de Portugal cherche à consolider l'indépendance. Il fait d'importants dons à l'Église et fonde divers couvents. Il tente de conquérir du terrain au sud sur les Maures et prend Santarém et Lisbonne en 1147. Dans les régions dépeuplées reconquises, il installe des colons et invite les ordres religieux militaires comme les Templiers et les Hospitaliers à s'installer le long des frontières comme défenseurs contre les Maures. En 1179, le pape Alexandre III, par sa bulle Manifestis probatum, reconnaît le Portugal comme pays indépendant et vassal de l'Église à condition de lui payer un tribut.

En 1146, Alphonse Ier épouse Mathilde de Savoie, avec qui il a sept enfants dont Sanche Ier de Portugal, son successeur.

Il meurt le 6 décembre 1185 à Coimbra et y est enterré au monastère de Sainte-Croix.



Largo Martins Sarmento N° 71 - Un beau bâtiment dans le secteur du Palais des ducs


La construction de l'église et du Convento do Carmo a commencé en 1685 et témoigne du style baroque. Le couvent était dédié à Santa Teresa, son fondateur étant inconnu.

Au début des années 1700, une bulle papale autorisa les personnes rassemblées de Santa Teresa à porter le voile des carmélites aux pieds nus, déjà sous l'invocation de saint Joseph. Cependant, le maître-autel était occupé par l'image de Nossa Senhora do Carmo – invocation plus commun et connu.

Le corps de l'église est séparé du chœur par un arc en pierre, et est enrichi par deux autels latéraux : l'Evangile, dédié à Santa Ana ; celui de l'épître Notre-Dame du Mont Carmel. Dans l'ancien chœur, il y a encore un autre autel, dédié au Seigneur mort, érigé de façon moderne par une initiative et une dévotion particulières.

Avec l'extinction officielle des ordres religieux, l'église et le couvent passèrent sous la propriété de l'État, avec une utilisation à des fins militaires. À partir de 1862, le bâtiment a commencé à abriter l'actuel Lār de Santa Estefânia.

SUR LES MURS EXTERIEURS DU COUVENTO DO CARME DE MAGNIFIQUES AZULEJOS

UNE BELLE DEMEURE DU QUARTIER, CE QUI DONNE
UNE RICHESSE A CE SECTEUR ANCIEN
Casa de Sarmento - Centro de Estudos do Património

LA MAISON SARMENTO
Centre d'études du patrimoine
Casa de Sarmento est une unité différenciée de l' Université du Minho , fondée en 2017, soutenue par un protocole que l'Université a signé avec la municipalité de Guimarães et la Société Martins Sarmento (SMS). Ainsi, l'expérience de l'Unité Culturelle du même nom qui existait entre 2002 et 2008 est reprise.

Sa mission principale est de renforcer le lien entre l'Université et la communauté, ainsi que de soutenir le développement de la mission scientifique et culturelle de SMS. Dans son activité, le traitement, le catalogage, la numérisation et la diffusion de la collection bibliographique, documentaire et muséologique de SMS revêt une importance particulière . A travers la Casa de Sarmento, les chercheurs et le grand public auront un accès privilégié à un patrimoine d'une valeur culturelle inestimable et à fort potentiel scientifique .

UN QUARTIER RICHE EN DEMEURES ANCIENNES

TRRES JOLI AZULEJOS A L'ENTREE D'UNE MAISON PRIVEE
Largo de Toural ou place de Toural. Un site historique avec autour d'innombrables constructions de toute beauté; On y aperçois sur cette photo l'Eglise de Sao Pedro.
LARGO DE TOURAL - PLACE DE TOURAL

Considérée aujourd'hui comme le cœur de la ville, elle était au XVIIe siècle une place extra-muros à côté de la porte principale de la ville, où se tenaient la foire aux bestiaux et autres foires de produits divers.

En 1791, la Mairie libéra le terrain jouxtant le mur pour la construction d'immeubles, qui furent ensuite construits selon un plan venant peut-être de Lisbonne, déterminant ainsi le début de la lente transformation du Toural. Dans la seconde moitié du siècle, le Jardin Public est construit, entouré d'une grille en fer, qui ouvre ses portes en 1878. Pour cet espace, un mobilier urbain est créé dans le respect de la nouvelle architecture du fer : kiosque à musique, urinoir, bancs et lampes. Avec l'instauration de la République, le Jardin Public fut transféré à un autre endroit, et la statue de D. Afonso Henriques fut alors placée au centre du Toural.

Quelques années plus tard, il passe au Parque do Castelo et est remplacé par une impressionnante fontaine artistique. Actuellement, à la suite de l'intervention réalisée en 2011, le Chafariz Renaissance à trois coupes, initialement placé à Toural en 1583, est retourné à la mer, puis transféré à Largo Martins Sarmento entre 1873 et 2011.

LARGO DE TOURAL - PLACE DE TOURAL

LARGO DE TOURAL - PLACE DE TOURAL

LARGO DE TOURAL - PLACE DE TOURAL

LARGO DE TOURAL - PLACE DE TOURAL

LARGO DE TOURAL - PLACE DE TOURAL
La basilique de São Pedro ou église de São Pedro est un temple néoclassique -
LARGO OU PLACE DE TOURAL

Déjà avec des origines au début du 17ème siècle , les travaux ne commencèrent qu'en 1737 . Ce n'est qu'en 1750 que le chœur fut béni . Les travaux ont été achevés en 1883 / 1884 , bien que la façade n'ait jamais été achevée, et le deuxième clocher manque toujours.

Le 26 mars 1751, elle est élevée au rang de basilique.

Le temple a été profané pendant les invasions françaises, ayant servi d' étable .

Elle reçut le titre de basilique mineure en 1751 par le pape Benoît XIV.

Tragédie de la Basilique Saint-Pierre
Le 1er décembre 1942, après la « Messe des âmes », qui eut lieu à 6 heures du matin, quelques centaines de personnes qui se trouvaient près de la Basilique Saint-Pierre (Sao Pedro) se rendirent dans une pièce du bâtiment, pour recevoir l'aumône sur du pain de blé.
Le poids excessif causé par les centaines de personnes qui étaient concentrées dans le bas-côté de l'église, qui donne accès au chœur, a entraîné la cession des poutres en bois. La chute des poutres a entraîné des dizaines de personnes, qui sont tombées dans le hall de la Brasserie « Atlantique », située à côté de l'église, provoquant une panique généralisée, de nombreux blessés et 10 morts.

La basilique de São Pedro ou église de São Pedro

Convento e Igreja de São Francisco
Le couvent et l'église ont commencé à être construits le 3 novembre 1400, avec l'autorisation du roi João I, malgré les références à un complexe antérieur (XIIIe siècle). L'église a subi plusieurs changements entre le siècle. XV et XVIII.

Nous mettons en évidence le principal portail de réminiscences encore roman ; la tête de lit gothique influencée par Batalhin; la salle capitulaire et un cloître maniériste. Cependant, la transformation la plus importante a lieu à l'intérieur, ici du gothique au baroque.

Des panneaux d'azulejos hagiographiques représentant la vie de Santo António sont introduits ; une nouvelle sacristie en costume Joanino a été créée, avec un plafond de coffres peints et de coffres en bois noir ; et, enfin, le retable principal est construit, conçu par Miguel Francisco da Silva en 1743 et exécuté par Manuel da Costa Andrade. Le siècle XX apporte des travaux de restauration sans modification notable de l'aspect général du bâtiment et du classement des Biens d'Intérêt Public.

Convento e Igreja de São Francisco

Convento e Igreja de São Francisco

Igreja e Oratorios de Nossa Senhora da Consolação e Santos Passos

Les origines de l'église remontent à un petit ermitage, dédié à Nossa Senhora da Consolação, construit en mars 1576. En octobre 1785, la nouvelle église est achevée, un exemple de spatialité baroque à Guimarães, où deux tours ont été ajoutées à la façade il y a un siècle puis, ainsi que l'escalier et la balustrade. Au XIXe siècle, la Casa do Despacho et la chapelle de Senhor dos Passos, attachée à l'église, ont été construites.

Le culte de Notre-Dame de la Consolation détermine l'érection canonique de la Confrérie, en décembre 1594, par le frère Agostinho de Jesus. En 1878, il a été décerné par le roi Dom Luís I avec le titre de Confrérie royale et les prérogatives de la Chapelle Royale. L'église et les oratoires de Nossa Senhora da Consolação et Santos Passos ont été classés en 1993 comme édifice d'intérêt public.
Igreja e Oratorios de Nossa Senhora da Consolação e Santos Passos


Igreja e Oratorios de Nossa Senhora da Consolação e Santos Passos

A l'origine une modeste chapelle du 16ème siècle, modifiée en octobre 1785 en architecture baroque. Couronné par deux tours construites au milieu du 19ème. Classée édifice d'intérêt public en 1993 Ouverte de 7h30 à 12h et de 15h à 17h, le dimanche 7h30 à 12h.

Muraille ou clôture urbaine de Guimarães classée monument national.

C'est ouvert au public depuis le 30 juin 2019 avec la possibilité de grimper et de marcher sur le mur, en pouvant voir une partie de la ville vue d'en haut.

Murs de Guimarães / Clôture Urbaine de Guimarães
Portugal, Braga, Guimarães, Union des paroisses d'Oliveira, São Paio et São Sebastião
Muraille médiévale de la clôture du village de Guimarães achevée sous le règne de D. Dinis.

La partie supérieure de la ville, Vila do Castelo, aurait été la première à être entourée de murs, peut-être encore sous le règne de D. Sancho I. Plus tard, le mur est commencé sous le règne de D. Afonso III et achevé par D. Dinis, rejoint Vila do Castelo à Vila de Santa Maria, la partie inférieure. A l'intérieur de l'espace muré, cependant, l'ancien mur du village haut restera comme un mur transversal, démoli seulement vers 1420.

La description
Il y a les deux ouvertures qui reliaient le mur à la clôture du château. De la place Mumadona et le long de l'Avenida Alberto Sampaio, vous pouvez voir la plus longue section préservée du mur, même si le niveau du trottoir marche à près de 3 m au-dessus de sa base. À côté de la Praça do Toural se trouve la Torre da Alfândega, qui était la plus S. da Muralha. Dans la Rua de Santo António, il y a encore une petite section visible entre les maisons.


Lieux ou emplacements
Oliveira do Castelo, Avenida Alberto Sampaio, Avenida D. Afonso Henriques, Praça do Toural

Cadre
Urbain. Les deux pans de murailles les mieux conservés, l'un, Avenida Alberto Sampaio, qui
monte vers le Château, et l'autre, le tronçon de Torre da Alfândega, Avenida D. Afonso Henriques, à l'entrée de la Praça do Toural. Les sections restantes qui existent encore sont
entièrement recouvertes par les bâtiments du centre historique de Guimarães.

Histoire :
XIIe - XIIIe siècle, débuts (règne de D. Sancho I) - le roi fit le tour de la partie haute de la ville à cheval, afin de lui marquer un terme, et il est probable qu'il s'était muré dès cette époque ;


XIII e siècle , mi - la construction du tracé définitif de la clôture de Guimarães commence,
à l'initiative du roi D. Afonso III, unifiant les parties supérieure et inférieure du village;

1322, avant - pendant le règne de D. Dinis, la construction de la clôture a continué, ce roi étant en grande partie responsable de son achèvement avant 1322;

1322 - siège du village par Infante D. Afonso, dans un combat avec son père, le roi D. Dinis.

1369 - siège du village par D. Henrique II de Castille ;

1385 - encerclement du village par les forces du roi D. João I;

1389 - D. João I unifie juridictionnellement les communautés des parties haute (Castelo) et
basse (Burgo) du village, ordonnant qu'ils forment un seul peuple, par l'incorporation de la ville haute en une seule commune, désormais Guimarães ;

1420, avant - démolition du mur transversal qui séparait la partie haute de la ville de la partie
basse ;

siècle 18 - à la demande de la Collégiale, la maçonnerie de la Torre da Sra. da Guia a été
utilisée dans les travaux de l'Igreja da Oliveira ;

siècle 19, mi - démolition de la Torre de S. Bento; 1943 - le long de l'actuelle Av. General
Humberto Delgado, plusieurs sections du mur ont été démolies avec une extension totale de plus de 150 m;


1980, décennie - un bar fonctionne à l'intérieur de la Torre da Alfândega;

2014 - Domingos Machado Mendes, homme d'affaires de Vila Nova de Famalicão, achète la Torre da Alfândega pour 193 000 euros, à la famille de l'artiste José de Guimarães, la seule tour restante de l'ancienne clôture du village, et la municipalité n'a pas exercé le droit de préférence ;

2016, 17 mars - Le conseiller culturel José Bastos révèle à Público qu'un accord a été conclu avec le propriétaire de la Torre da Alfândega pour permettre l'accès du public au sommet de la Tour ; le maire révèle également qu'il finalise un projet qui permettra la circulation du public, à pied et en toute sécurité, sur la section du mur existant sur l'avenue Alberto Sampaio, entre l'entrée latérale de l'hôtel de ville et le musée Alberto Sampaio, traversant également un une partie du terrain de la Collégiale d'Oliveira; le parcours se fera à travers une structure intérieure en bois, avec le nom et l'emplacement des tours existant auparavant sur le trottoir, permettant une meilleure interprétation de l'ancien système défensif de la ville ;

2019, 24 juin - inauguration du sentier pédestre sur le mur adarve,

Commentaires
Le circuit Muralhas de Guimarães a commencé au Château, où existent encore les deux départs
qui les reliaient à la clôture du château. Du côté E, elle descendait au S, vers la Porta de Freiria ou Porta de Sta. Cruz, qui était défendue par une tour, et dont aucune trace n'est conservée.

C'est ici que commençait à se fermer le circuit primitif de la ville haute, tournant vers O. qui présentait un peu plus loin une autre porte et tour, nommée Santa Bárbara. Le maintien de cette section primitive après l'expansion du mur sous les règnes d'Afonso III et D. Dinis, a créé un mur intérieur transversal qui n'a été démoli que c. à partir de 1420. Le mur dionysiaque a continué à descendre vers le S. vers la Porta do Postigo et la Torre da Sra da Guia. Au milieu de cette section, il y avait une tour, appelée les Chiens, qui était située dans l'actuelle place de Mumadona. De cette pièce. et le long de l'avenue Alberto Sampaio, vous pouvez voir la plus longue section préservée du mur, même si le niveau du trottoir marche à environ 3 m au-dessus de sa base.

De Senhora da Guia, le circuit a commencé à tourner vers O. et est maintenant entièrement recouvert de constructions. Il y avait autrefois la Torre Velha, la Porta da Torre Velha et la Torre da Alfândega, qui est encore préservée, près de Pça do Toural, avec un accès via le Postigo de S. Paio ou Porta Nova. La Torre da Alfândega était le point le plus au sud de la Muralha qui commença alors à prendre la direction N. Au bout de la Pça. do Toural, il y avait la Porta de S. Domingos et la Torre da Sra. da Piedade, qui constituaient la principale l'entrée du village, et pour cette raison on l'appelle aussi la Porta de Vila. Le Mur suivait ensuite le courant R. de Santo António où il y a encore une petite section visible entre les maisons.

À l'endroit où se trouve aujourd'hui le bâtiment du CTT, se trouvaient la Torre de S. Bento et la Porta de Sta. Luzia ou Senhora da Graça.C'est ici que se terminait la paroi transversale susmentionnée du circuit d'origine. Il a ensuite continué le long de l'actuelle Av. General Humberto Delgado, où il a été conservé jusqu'à ce que, très récemment (1943), il soit complètement démoli. Par la suite, jusqu'à ce que le château soit à nouveau rencontré, il y avait encore la Porta de Sto. António et la Tour de Garrida. De cette dernière section, à l'exception de la rencontre avec la clôture du Château, il ne reste rien.

Source : http://www.monumentos.gov.pt/Site/APP_PagesUser/SIPA.aspx?id=1048

EN VILLE UN GRAND DRAPEAU A L'EFFIGIE D'ALPHONSE 1ER -
FONDATEUR DU PORTUGAL
LE PALAIS DUQUAL

DEUX VUES DU CHATEAU DE GUIMARES PRISES
SUR LES HAUTEURS DE LA VILLE


AMARANTE
AMARANTE - LE TAMEGA

Amarante, la douceur de vivre au bord de l’eau – environ 30 kms au sud de Guimarães.

Située sur les rives boisées du Tâmega, district de Porto, Amarante est une petite ville très agréable. On a vite fait d’en faire le tour. Tous les points d’intérêt sont concentrés au même endroit, ce qui en fait un point de départ parfait pour de longues balades dans les ruelles de cette ville du nord du Portugal.

AMARANTE - A NE PAS MANQUER !

C’est une zone idéale pour visiter les nombreuses demeures du XVIIe siècle ainsi que la fameuse église du monastère de São Gonçalo.


Statue de Teixeira de Pascoaes – Amarante - Derriere : Le Musée municipal Amadeo de Souza-Cardoso – Situé dans le couvent dominicain de S. Gonçalo de Amarante, le musée municipal vise à garder la mémoire des générations de peintres et sculpteurs portugais nés à Amarante, avec un accent particulier sur l'art moderne et contemporain.


Teixeira de Pascoaes, de son nom d'état civil Joaquim Pereira Teixeira de Vasconcelos (né à Amarante, dans le district de Porto, le 2 novembre 1877 et mort à Gatão le 14 décembre 1952), est un écrivain et poète portugais représentatif du mouvement littéraire défini comme le saudosismo ou « nostalgisme ».
Une vue sur l'hôtel CASA DA CALCADA - Relais et Châteaux -

La Casa da Calçada est un hôtel de luxe situé dans la ville historique d' Amarante . Construit au XVIe siècle pour être l'un des principaux palais du comte de Redondo , il fut, lors des invasions françaises, une auberge pour les commandements alliés , ayant joué un rôle essentiel dans la défense d'Amarante et de la route d'accès à Porto . Cependant, le troisième jour de la bataille, le bâtiment a été détruit par un incendie.

Il a ensuite été acquis et reconstruit par la famille Pereira do Lago. Il a servi de point de rencontre pour les politiciens et les intellectuels au 20ème siècle. En 2001, il a été entièrement restauré et, en novembre 2003, il fait partie de la célèbre chaîne hôtelière Relais & Châteaux .
Vue en direction de l'hôtel Calcada, prise dans les hauteurs au dessus
de l'église São Gonçalo

CASA DA CALCADA

CASA DA CALCADA

LE FLEUVE TAMEGA - AMARANTE

Le portugais : Tâmega ou espagnol : Támega est une rivière hispano-portugaise, qui prend sa source au lieu-dit Alberguería à Verín, dans la province d'Orense, dans la communauté autonome de Galice en Espagne, et se jette dans le fleuve le Douro à Entre-os-Rios, dans le District de Porto au Portugal.

Le Támega - Amarante

Le Tâmega tire son nom des Tamaganos, ou Tamagani (en latin), un peuple qui vivait sur les rives du Tâmega, aux alentours de Chaves, avant la conquête romaine de la péninsule ibérique1.

Le préfixe "tam-" ou "ta-" pourrait signifier "de couleur sombre", comme de nombreux mots apparentés peuvent le laisser penser: темно en Russe, tamsi en Lituanien, tumsa en Letton, tamas en Sanskrit, tywyll en Gallois ou teimen en Moyen irlandais, signifient tous "sombre".

On retrouve ce préfixe pour plusieurs rivières galiciennes, comme le Tambre, le Támoga, ou le Tamuxe, et pour de très nombreux cours d'eau britanniques, comme la Tamise, le Tamar, ou le Tame.

Le Tâmega a donné son nom aux sous-régions Alto Tâmega, et Tâmega e Sousa.


Au bout du Ponte de São Gonçalo, un immeuble qui marque par sa couleur !!!

Amarante :les plaisir de l'eau sur le fleuve Támega - Une rivière tranquille.
la Tamega

Monastère - Couvent - Igreja - de São Gonçalo - Avant les travaux.

Cet ensemble architectonique fût fondé par le roi Joao III en 1540, il montre une combinaison de différents styles, les travaux ont duré 80 ans.

Au premier plan l'Eglise São Gonçalo, en travaux en aout 2021 et au second plan on aperçoit Igreja de Nosso Senhor dos Aflitos ou de São Domingos

Lors de notre visite sur les lieux, le monument était en travaux.

Selon la tradition (locale), elle remonterait à une chapelle primitive construite par le bienheureux Gonçalo de Amarante au début du XIIIe siècle .

Le couvent de l'église São Gonçalo

Le couvent de l'église São Gonçalo

En 1540, João III de Portugal (1521-1557) et son épouse, D. Catarina d'Autriche , décidèrent de construire un nouveau temple et couvent dominicain sur le site, sous l'invocation de Gonçalo de Amarante. Les travaux commencèrent en 1543 et se poursuivirent jusqu'au XVIIIe siècle , avec des interventions au XXe siècle .

Le couvent de l'église São Gonçalo

La construction de l'église et du couvent fut achevée sous le règne de Philippe II d'Espagne, avant 1600. La construction du portique et de la Varanda dos Reis commença le 12 octobre 1683.

Durant les travaux, 08.2021 - la facade était restée visible.

La façade de l’église est impressionnante, avec 3 étages dont deux renaissances et une baroque. Près du portail, on remarque les statues des quatre rois pendant le règne desquels le monastère fut bâti. Mais l’édifice est surtout renommé pour son autel de bois sculpté, érigé derrière l’autel central et un buffet d’orgues du début du XVIIème siècle. Le tombeau de Saint Gonçalo (mort en 1259) se trouve dans une des chapelles.

Son emplacement au bord de la rivière met également en évidence sa beauté monumentale

L'EGLISE SAO DOMINGOS OU NOSSO SENHOR DOS AFLITOS

AMARANTE - Igreja São Domingo

L' église de São Domingos , également appelée église de Nosso Senhor dos Aflitos, est située au centre de la ville d' Amarante. Elle est proche de l'église et du couvent de São Gonçalo .

Elle a été érigée par le Vénérable Tiers-Ordre du Patriarche São Domingos et a été achevée en 1725 .

En octobre 2011, elle a subi une intervention de conservation et de restauration. elle abrite actuellement un musée d'art sacré.

Exemplaire d'architecture religieuse, de style baroque .



L'Eglise de São Pedro ( église de St Pierre)

Igreja São Pedro - AMARANTE

L'église de São Pedro de Amarante se distingue dans le tissu urbain non seulement par son isolement relatif mais surtout par la verticalité de sa façade de tour, surmontée d'une flèche et de la croix du métier à tisser papal, qui évoque le premier pape, à qui le le temple est dédié. Le portail, au linteau droit, est surmonté d'ailes qui intègrent un panneau au métier à tisser, tandis que les images de São Pedro et São Paulo sont affichées sur les corps latéraux de la façade.

Dans ce même lieu, la chapelle de São Martinho, propriété de la miséricorde d'Amarante, a été précédemment construite. Il a été détruit pour faire place au temple actuel, construit très probablement au XVIIe siècle. En fait, le plafond alfange de la sacristie semble être son élément le plus ancien, mais il y a des nouvelles d'un contrat pour la dorure des retables collatéraux et d'autres éléments de sculpture en 1687, l'année où l'église était déjà terminée.

En tout cas, le clocher a été construit beaucoup plus tard, datant de 1727. À son tour, le chœur a fait l'objet d'une campagne au milieu du siècle, avec des travaux de maçonnerie réalisés en 1746 par le maître António Gomes et un retable. sculpté en 1748 par José de Fonseca e Lima. La dorure de la tribune a eu lieu dès 1760 par les peintres Manuel de Queirós et João Manuel de Sousa.

A l'intérieur de l'église, à nef unique, mention spéciale est faite des boiseries dorées qui, bien que contenues, débordent des autels pour couvrir l'arc de triomphe, et sont encore présentes dans les lambrequins des fenêtres et chaires. Le corps du temple est recouvert d'une pierre de taille d'azulejos dans un motif du XVIIe siècle, jaune et bleu, et la voûte en berceau présente des peintures aux motifs néoclassiques. Dans le chœur, le plafond a vingt-cinq caissons et les ouvertures ont un cadre doré.

Source Patrimoine Culturelle du Gouvernement Portugais - http://www.patrimoniocultural.gov.pt/pt/patrimonio/patrimonio-imovel/pesquisa-do-patrimonio/classificado-ou-em-vias-de-classificacao/geral/view/74567

Le pont St Gonçalo
Le pont de São Gonçalo est situé sur la rivière Tâmega , dans la paroisse d'União das Freguesias de Amarante (São Gonçalo), Madalena, Cepelos et Gatão , dans la ville d' Amarante , dans le district de Porto , au Portugal .

Avec l' église et le couvent voisins de São Gonçalo , ils représentent l'« ex libris » de la ville.
Histoire


On pense qu'il y avait à l'origine un vieux pont romain à cet endroit , car c'est le tracé de la voie romaine qui passerait par Amarante, vers Guimarães et Braga .

Le pont de São Gonçalo

Selon la tradition locale, vers 1250, le bienheureux Gonçalo de Amarante construisit ou reconstruisit ce pont, en utilisant les ressources des aumônes obtenues par lui dans la région.

Le 10 février 1763 , ce pont, où se dressait une croix au milieu, s'effondre en raison d'une crue exceptionnelle de la rivière. La croix, ou Senhor da Boa Passagem, a réussi à être retirée une heure avant cet événement et, plus tard, a été placée dans la fenêtre d'un coin de l' église de São Gonçalo , laissant la Mère de Dieu protéger le trafic. C'est l'image de Senhora da Ponte.

En 1782 , la reconstruction du pont a commencé avec un projet de Carlos Amarante , et il a été ouvert à la circulation en 1790 . En 1791, il est complété par deux paires de flèches, deux ornements en forme d'urne électorale et un banc sur chaque balcon.

Dans le contexte de la guerre péninsulaire (1807-1814), lors de la deuxième invasion française au Portugal, elle fut le théâtre, pendant 14 jours en 1809 , de la défense héroïque du Ponte de Amarante , contre les troupes napoléoniennes en retraite vers Trás- os-Montes .
Il est classé monument national depuis 1910 .À côté de l’église São Gonçalo Il y a le pont en granit qui traverse le Tamega, construit au XVIIIe siècle, symbole de l’héroïque résistance de la population face aux troupes napoléoniennes

Le pont de São Gonçalo - Amarante

La célèbre église St Gonçalo et le pont St Gonçalo, sont considérés comme les attractions et monuments nationaux les plus importants de la ville ;

Dans le centre historique sont installés quelques-uns des meilleurs restaurants à Amarante

Sous le pont, vous pouvez admirer le débit tranquille du fleuve Tâmega qui vous conduira ensuite à plusieurs cafés agréables longeant la rive.

La maison de Magalhaes.


Au-dessus de la rua Cândido dos Reis, près de la gare, la maison de Magalhaes est un édifice du XVIIIe siècle qui a appartenu à la famille du même nom à Amarante. En ruine depuis 1809, souvenir âpre et muet du passage des troupes napoléoniennes, lors de la 2è invasion. Il est actuellement l’un des principaux sites touristiques de la ville et aussi un symbole de la résistance contre les français.

Bien que ne sachant pas exactement comment Amarante a été fondée, certains historiens attribuent la fondation de cette ville située entre le Minho et Trás-Os-Montes à un centurion romain du nom de Amarantus. Toutefois, Amarante a gagné sa réputation dans le pays grâce au moine bénédictin St. Gonçalo, de retour à Amarante après son pèlerinage en Italie et à Jérusalem au 13ème siècle

D’autres églises comme l’église São Pedro influencée par le style baroque et l’église Sao Domingos, toutes deux construites pendant les années 1700, sont assurément des monuments à découvrir.

Quant à l’église da miséricorde, qui date du 16ème siècle et détruite en partie par l’armée napoléonienne, a subi d’importantes modifications au cours du 19ème siècle

EN VRAC A TRAVERS LA VILLE....

AMARANTE - sur les bords du fleuve Tamega.

RICHES MAISONS ANCIENNES - AMARANTE


UNE VUE SUR LA VALLEE ET LE FLEUVE TAMEGA

Dans les rue anciennes d'Amarante.

Une vue en direction du vieux pont. - AMARANTE





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